la Boîte À Outils des parents - le podcast pour une parentalité épanouie, sereine et apaisée

Certain.e.s de mes coaché.e.s croient que la crise d’adolescence commence vers 12/13 ans et que c’est seulement à ce moment-là que les enfants vont vous dire un « oh c’est bon ! » dès que vous allez leur demander quelque chose, et qu’ils ne vont vous répondre qu’à partir de cet âge-là. Que nenni ! Je suis désolée de vous le dire mais la crise d’adolescence comme on l’entend n’a pas de début ni de fin en réalité. Tout au long de l’enfance, notre enfant se développe, se construit, fait des expériences, s’affirme et ça peut donner lieu à de l’insolence et de la réponse dès le plus jeune âge.

Dans cet épisode, je vous parle de la façon de réagir lorsque votre enfant est insolent ou vous répond. Ça va peut-être vous surprendre mais je ne vais pas vous recommander de le priver de télé pendant un mois et de l’envoyer dans sa chambre réfléchir à ce qu’il vient de dire. Au contraire, je vous préconise de comprendre ses raisons, de comprendre pourquoi votre enfant est insolent ou vous répond et de lui apprendre à mieux s’exprimer.
Mais attention : ça ne veut pas dire accepter le manque de respect de la part de ses enfants ! 

Ah, l’autorité ! Grande question n’est-ce pas ? Pourquoi les enfants ne font-ils pas exactement ce qu’on leur demande au moment où on leur demande ? C’est la question que me posent beaucoup de mes coachés. 

L’autorité peut être définie comme le pouvoir de se faire obéir par ses enfants. Mais pourquoi aurions-nous ce pouvoir ? Pourquoi nos enfants nous reconnaîtraient-ils ce pouvoir ? Pourquoi nos enfants nous obéiraient-ils au doigt et à l’œil ? 

Eh bien parce qu’on a construit une relation basée sur l’amour, la confiance, la compréhension, l’empathie, la constance, le respect, la tolérance, le droit à l’erreur et pas sur la peur. La peur fonctionne aussi mais à quel prix ? 

Dans cet épisode, je vous explique comment retrouver votre autorité. 

Cet épisode tombe à pic si c’est bientôt Pâques, Noël, un anniversaire ou un autre évènement qui vous amènera à retrouver votre famille ou vos amis. Un évènement où il y aura beaucoup de monde avec qui vous êtes plus ou moins proche. 

Beaucoup de monde qui sera certainement très content de voir vos enfants. Peut-être que ces personnes-là ne les voient pas beaucoup, ne les connaissent pas beaucoup. Peut-être qu’il y aura d’autres enfants, qui auront d’autres règles, éloignées des vôtres. Peut-être qu’il y aura des personnes qui savent mieux que vous comment vivre votre vie, élever vos enfants, prendre des décisions. 

Peut-être qu’il n’y aura rien de tout ça, que vous allez passer un super moment avec ces personnes-là. Mais peut-être qu’il y aura quand même deux ou trois petites choses à encaisser sans se braquer et sans faire d’esclandre. 

Voici un mode d’emploi de la survie aux réunions de famille. 

Dans cet épisode, je parle de donner et d’écouter la parole des enfants, autrement dit, je parle de consentement. Je parle aussi des questions idiotes qui nous énervent comme « alors, tu as une amoureuse ? » si l’enfant est un garçon ou « tu as un amoureux ? » si l’enfant est une fille. Je parle enfin des règles différentes auxquelles peuvent être confrontés nos enfants. Chez nous, ils sont autorisés à faire quelque chose et chez nos hôtes, ils en sont interdits, ou vice versa, ce qui peut être déstabilisant pour nos enfants. 

Dans mes coachings parentaux, j’ai souvent cette question : est-ce que mes enfants sont trop gâtés ?

Comme s’il ne fallait surtout pas qu’ils le soient car cela signifierait que les enfants sont des rois et des reines, intolérant.e.s à la frustration et non confronté.e.s à la dure réalité de la vie. Pour certains parents, il faudrait même faire exprès de frustrer les enfants, même s’il est possible d’accéder à leurs demandes afin d’éviter qu’ils ne soient trop gâtés.

À mon avis, ça va un peu loin…

Déjà, le terme « gâté » a une connotation négative. Gâter, c’est donner trop et c’est mal.

Cela transformerait-il nos enfants en tyrans ? Notre autorité parentale serait-elle en péril ?

Dans cet épisode, je m’interroge sur ce qu’est un enfant trop gâté, sur les raisons pour lesquelles des parents gâteraient trop leur enfant et sur les risques d’avoir un enfant trop gâté. Je conclus en vous proposant des solutions concrètes et applicables immédiatement pour trouver le juste milieu entre faire plaisir à son enfant de façon raisonnable et en faire un enfant roi.

Cet épisode vous permettra d’avoir une parentalité plus consciente.

Est-ce que vous savez répondre à cette question ?

De quoi vos enfants ont-ils besoin ?

C’est une question fondamentale ! Si vous ne savez pas de quoi vos enfants ont besoin, comment voulez-vous répondre à leurs besoins ?

La chose qui n’est pas évidente est que ce n’est pas facile de savoir ce dont nous avons besoin (du moins, pour les besoins non physiologiques). Or, les enfants (comme toute le monde d’ailleurs) doivent satisfaire leurs besoins.

Dans cet épisode, je vous invite à faire le point sur les besoins : ce que c’est, comment les connaître et les assouvir. De cette façon, vous pourrez le faire également pour vos enfants. Lorsque vous aurez compris de quoi a besoin votre enfant, vous pourrez le lui donner et les relations avec lui en seront améliorées. Vous éviterez des crises dues à des incompréhensions, vous vous rapprocherez de votre enfant, vous serez un parent plus à l’écoute de votre enfant.

Le sujet de cet épisode est venu de la part de l’une des mes auditrices et coachée. Sa question était : « faut-il donner de l’argent de poche à mes enfants ? ».

Ma première réponse, vous vous en doutez est « vous faites comme vous voulez ! ».

Mais pour vous aider à prendre votre décision que vous voulez éclairée et consciente, écoutez la suite.

C’est une question qui concerne plutôt les enfants plus grands, je dirais les collégiens. C’est vrai que nous sommes peu de parents à donner de l’argent de poche chaque mois à nos enfants de primaire et encore moins de maternelle. Les enfants peuvent avoir un peu d’argent en cadeau à leur anniversaire ou à Noël ou à d’autres occasions d’ailleurs, ils peuvent avoir une petite pièce par-ci, par-là pour mettre dans leur tirelire. Mais institutionnaliser qu’ils vont avoir tant d’euros en début de mois ou en fin de mois d’ailleurs, nous n’y pensons pas vraiment en primaire et nous y pensons moins pour les plus petits que pour les plus grands.

Néanmoins, j’ai connaissance que certains parents donnent de l’argent de poche à leurs enfants assez jeunes.

Pourquoi ?

Comment apprendre à nos enfants la valeur de l’argent ? Comment leur apprendre la gestion d’un budget ? Comment leur apprendre à économiser ? Comment leur apprendre le fonctionnement du système monétaire et financier ? Et comment ne pas en faire des enfants pourris gâtés ?

Non, je ne sors pas les épisodes le lundi habituellement. Mais j'avais quelque chose à vous dire. Quelque chose d'important. 

Je publierai maintenant les épisodes toutes les deux semaines. Je vous explique pourquoi dans cet épisode spécial. 

En bref, publier un épisode me prend, en moyenne, 4 heures. Le podcast n'est pas une activité qui est source de revenus pour moi (je suis totalement ok avec ça !) et j'ai besoin de ce temps pour mieux développer mon activité commerciale, source de revenus... Parce que, j'ai aussi à cœur de vous proposer des épisodes toujours plus intéressants les uns que les autres et je ne veux donc pas bâcler les épisodes de la boîte à outils des parents. 

J'ai aussi à cœur de développer mon activité d'accompagnement des parents pour aider le plus de parents possibles à retrouver du plaisir avec leurs enfants. 

Sacré dilemme n'est-ce pas ? Ce n'est pas une décision facile pour moi... Dès que je pourrai de nouveau consacrer 4 heures chaque semaine au podcast, je le ferai ;) 

A demain pour le premier épisode de cette nouvelle fréquence ! 

Une des grandes questions que je me suis posée (et je suis sûre que vous aussi, vous vous la posez), en tant que maman et coach parental, c’est : comment se développe un enfant ? Qu’est-ce qui se passe dans la tête d’un bébé pour qu’il acquiert progressivement des compétences et capacités cognitives ?

Le langage fait partie d’un des grands mystères pour moi : comment un bébé qui ne parle pas devient un jeune enfant qui parle ? Quels sont les mécanismes à l’œuvre ? Comment favoriser le développement de cette compétence ? Quels sont les réactions ou les absences de réactions qui doivent nous alerter ? Est-ce qu’un enfant fini toujours par parler à un moment ou à un autre ?

J’ai posé toutes mes questions à Estelle qui est orthophoniste et qui, malgré son emploi du temps bien rempli, comme toutes les orthophonistes, a gentiment trouvé le temps de venir à mon micro répondre à toutes mes questions.

Estelle nous explique que le langage s’acquiert grâce aux interactions que l’on a avec notre bébé. Plus on communique avec lui, plus il va vouloir communiquer avec nous et développer toutes les compétences de communication.

Elle nous parle également des signes devant nous alerter, les signes qui indiqueraient des difficultés à entrer dans le langage en nous précisant comment réagir, comment aider notre enfant.

C’est un sujet sur lequel j’ai beaucoup réfléchi en tant que coach parental et je vous livre ici le fruit de ma réflexion.

Dans la continuité de l’épisode précédent, dont le sujet était « faut-il tout dire à ses enfants ? », je souhaitais revenir sur un point important : les secrets.

Dans l’épisode précédent, j’affirmais que oui, il fallait tout dire à ses enfants, ne pas leur cacher d’informations importantes sous peine d’entraver la confiance qu’ils ont en vous, de les laisser dans l’incompréhension, de leur permettre de ressentir et d’exprimer des émotions négatives plutôt que de les refouler et de créer des sujets tabous.

Savoir si l’on peut parler de tout à ses enfants est une question qui revient souvent. Mes coachées me disent « je ne peux pas lui dire ça quand même ! », en parlant de sujets délicats comme les relations amoureuses ou plus simplement les relations entre adultes, la mort, la maladie, la sexualité…

Je vous le dis tout de suite : oui, vous pouvez tout dire à vos enfants. Et même, il vaut mieux dire, même si c’est désagréable, que cacher des informations à ses enfants.

Selon les informations que l’on cache, ça peut être terrible pour l’enfant car l’information cachée peut être déterminante pour son développement et la construction de sa personnalité.

Les informations cachées peuvent être importantes pour la thérapie transgénérationnelle et la psychanalyse.

Les informations cachées peuvent devenir des sujets tabous, sujet dont on ne doit absolument pas parler avec vous. Mais vos enfants chercheront les réponses à leurs questions par leur propres moyens et ils pourront aussi demander à d’autres personnes avec le risque de ce que ces personnes vont transmettre à vos enfants…

Le pire qui puisse arriver est lorsque les enfants découvrent enfin la vérité cachée : ils peuvent être déçus de vous, se sentir trahis et perdre la confiance qu’ils avaient en vous…

Écoutez l’épisode pour savoir pourquoi et comment parler de tout à vos enfants !

Dans la continuité de l’épisode précédent consacré à la protection des enfants et toujours dans cette volonté de mieux vous informer pour mieux prévenir les risques auxquels les enfants sont exposés (les vôtres et les autres), je vous propose aujourd’hui un épisode dans lequel nous allons parler des violences sexuelles faites aux enfants. L’idée est de savoir comment les éduquer à la sexualité de façon générale et en particulier à les protéger des risques afférents.

Pour ce sujet, que je ne maîtrise pas du tout, j’ai invité Anaïs Delaissez-Zaehringer. Anaïs a gentiment accepté de venir à mon micro pour nous expliquer comment faire cette prévention auprès de nos enfants. Et elle a bien fait car c’est clairement une experte du sujet !

Le sujet des violences sexuelles faites aux enfants fait certes, froid dans le dos, c’est indiscutable. Mais il est ô combien important d’éduquer nos enfants à la sexualité pour ainsi prévenir les violences sexuelles dont ils pourraient être victimes .

Ça fait longtemps que je me demande comment mieux protéger les enfants. Mes enfants d’abord mais aussi ceux que je peux croiser dans des situations, des évènements auxquels participent mes enfants. Je sais que je n’ai pas les bons réflexes. J’ai donc voulu demander à une experte en la matière.

Dans cet épisode, je reçois Virginie qui est médecin et dont l’une de ses missions est la protection de l’enfance.

Virginie nous explique comment est organisée la protection de l’enfance en France. Elle nous assure que ce n’est pas parce qu’on appelle le 119 que l’enfant va être retiré à la famille et placé ! Cette mesure-là n’est que le dernier recours, le plus grave, celui qui n’est utilisé qu’en cas de risque extrême pour l’enfant. La plupart du temps, il est proposé une aide éducative à la famille.

L’appel au 119 peut être anonyme si vous le demandez lorsque vous les appelez. Et vous pouvez les appeler dès que vous avez un élément d’identité de l’enfant et que vous êtes alerté.e par la façon dont le traite ses parents. Rassurez-vous, après votre appel, une équipe professionnelle va évaluer les informations que vous avez transmises et décidera d’agir ou non. Ils trieront pour vous. Il vaut donc mieux informer pour rien, dès que quelque chose vous interpelle, que de ne pas informer du tout.

Virginie nous rappelle également que dans tous les cas, l’enfant passe en premier. Il est absolument nécessaire que les enfants grandissent dans de bonnes conditions pour leur assurer un développement harmonieux et qu’ils deviennent des adultes qui reproduisent des traitements qu’ils pensent « normaux ».

Avez-vous envie de protéger les enfants avec moi ?

J’entends souvent autour de moi que la curiosité est un vilain défaut. En tant que coach parental, ça m’interpelle. D’ailleurs, je ne suis pas la seule car certaines auditrices s’interrogeant sur la curiosité de leurs enfants m’on réclamé un épisode sur le sujet.

Alors, pourquoi diable pensons-nous qu’être curieux ou curieuse est mal ?

Les adultes qui se sentent mal à l’aise face à une question posée ont une parade toute trouvée ! Les personnes qui se sentent en conflit avec ces questions vont reprocher à celle ou celui qui la pose sa curiosité.

Mais être curieux ou curieuse est-il vraiment mal ?

Pas du tout !

Au contraire ! La curiosité des enfants leur permet de découvrir le monde, de le comprendre. La curiosité entraîne les enfants à se poser des questions, à réfléchir par eux-mêmes, à trouver des solutions à leurs problèmes. Petits problèmes quand ils sont petits mais grands problèmes quand ils seront adultes !

Non, la curiosité n’est pas un vilain défaut. Mais il faut savoir la doser.

Écoutez l’épisode pour en savoir plus !

Comme l’épisode de la semaine dernière, n’écoutez pas cet épisode en présence de vos enfants !

Je continue à vous parler des mythes et plus particulièrement du père Noël.

Dans l’épisode précédent, je vous ai parlé de la grande question : faut-il faire croire au père Noël à ses enfants ? La réponse se trouve à la fin de cet épisode. *Suspens !*

Que répondre à votre enfant qui vous demande si le père Noël existe vraiment ? Je vous donne quelques idées. Cette question peut arriver plus vite que vous ne le pensez…

Une fois que l’enfant sait que le père Noël n’existe pas, comment peut-il réagir ? Peut-il se sentir trahi ? Peut-il se sentir heureux ?

Et faut-il encourager les enfants qui sont dans la confidence à perpétuer la supercherie ? À mentir à leurs cadets ?

Pour chaque question, je vous propose des alternatives différentes. C’est fait exprès : je vous invite à la réflexion autour de ce sujet afin que vous preniez vos décisions éclairées en tant que parent conscient.

Je vous quitte en vous souhaitant de très bonnes fêtes de fin d’année. Que vous fêtiez Noël ou non et que vous fassiez croire au père Noël ou non !

Je vous retrouve en janvier pour de nouveaux épisodes !

N’écoutez pas cet épisode en présence de vos enfants !!

Nous n’allons parler de rien de grave, rassurez-vous, mais d’un secret bien gardé depuis des générations et des générations.

Oui, dans cet épisode, je vais vous parler du père Noël et des mythes de façon générale. Et le sujet est si large que j’y consacre deux épisodes !

Dans celui de cette semaine, je vous donne des pistes pour savoir si vous voulez faire croire à vos enfants au père Noël, à la petite souris et autres. Est-ce une questions religieuse ? Pas pour tout le monde !

Est-ce un mensonge ? Dans l’absolu, oui. Mais c’est un mensonge gentil et bienveillant. Pas un énorme mensonge fait pour cacher un secret de famille déterminant pour l’enfant.

Dans l’épisode de la semaine prochaine, je vous parlerai de ce que vous pouvez répondre à un enfant qui vous demande si le père Noël existe vraiment, comment il peut réagir et s’il faut encourager nos enfants à entretenir ce mythe (ou mensonge, selon le point de vue).

Pour cet épisode, dans lequel je vais vous proposer une solution pour prendre du recul, je m’appuie de nouveau sur le livre génial dont je n’ai pas cessé de faire l’éloge : le cerveau de votre enfant par les docteurs Siegel et Payne Bryson.

Quand j’ai fait la série sur le cerveau avec les épisodes 51, 52 et 53, je ne vous ai pas parlé de ce qui va suivre parce que je trouvais que la série sur le cerveau était déjà un gros morceau et que le sujet dont je vais vous parler maintenant pouvait être décorrélé du reste.

Je veux vous parler de ce que les docteurs Siegel et Payne Bryson appellent la roue de la conscience.

La roue de la conscience, qui est un terme assez opaque, je trouve, permet de prendre du recul, de se défocaliser d’une pensée qui crée des émotions négatives pour se reconcentrer sur des pensées plus positives. Je vais m’expliquer avec un exemple mais avant ça, je voulais vous préciser que la roue de la conscience est très utile pour les enfants qui ont tendance à se focaliser sur une pensée et à faire des généralités. Mais elle est aussi très utile pour les adultes ! Les adultes sont normalement capables de plus de subtilité, ils sont capables de relativiser plus facilement que les enfants mais tout de même, les adultes trouveront un intérêt dans cet outil.

Découvrez vite cet outil !

Votre enfant fait des bêtises et ça vous agace ? Bienvenue au club ! Tous les enfants font des bêtises. J’ai beaucoup entendu ça, comme une vérité avec un grand V. J’étais d’accord avec ça. Oui, mais quand il en fait… C’est casse-pied ! Et si votre enfant en fait beaucoup, c’est vraiment pesant et épuisant !

Dans cet épisode je commence par définir ce qu’est une bêtise. Ensuite, je vous explique pourquoi votre enfant fait des bêtises. Vous comprendrez que ce n’est pas que pour vous embêter ! Et enfin, je vous propose des solutions pour éviter que votre enfant fasse des bêtises.

En clair, c’est un épisode IN-DIS-PEN-SABLE si votre enfant vous fait tourner chèvre à enchaîner les bêtises !

Comment fait-on lorsque nous sommes femme, maman et salariée ou entrepreneuse pour tout gérer ?

Selon les personnes, ça peut être facile ou difficile. Dans cet épisode, je vous donne des clés pour une organisation au top !

L’estime de soi est fondamentale ! Et j’ai attendu l’épisode 57 pour en parler…

L’estime de soi est le jugement que l’on se porte à soi-même. Il peut être positif ou négatif.

Le jugement que l’on porte sur soi est, généralement, accompagné de pensées à ce sujet. Pensées qui entretiennent généralement le jugement. Si nous avons un jugement positif, nous aurons des pensées positives et vice versa. Si bien que nos pensées accentuent le jugement que l’on se porte.

Vous l’aurez compris, autant avoir une bonne estime de soi alimentée par des pensées et un jugement positifs sur soi.

Mais ce n’est pas forcément le cas.

Cet épisode vous offre une réflexion autour de votre propre estime de vous et des clés pour l’améliorer. J’aborde également des clés pour inculquer une bonne estime de soi à nos enfants.

Dans cet épisode, je vous parle de l’enfant unique et des mythes qui l’accompagnent. Evidemment, pour les déconstruire.

L’enfant unique est soi-disant égoïste. Il manque d’autonomie et ne sait pas gérer la frustration.

Alors oui, certains enfants uniques sont exactement comme ça. Mais est-ce que les enfants qui ont des frères et/ou sœurs ne sont jamais comme ça ?

Je ne crois pas.

Dans cet épisode, j’explique que certains enfants sont égoïstes, manquent d’autonomie et ne savent pas gérer la frustration. Mais ces enfants ne sont pas forcément uniques !

Je rappelle également que vous, parents, vous avez le choix et le droit d’avoir un seul enfant. La société nous met une certaine pression pour avoir plusieurs enfants mais gardez en tête que vous faites ce que vous voulez !

Écoutez l’épisode pour en savoir plus !

Cela faisait longtemps que je cherchais à faire un épisode sur la pédagogie Montessori. Je m’y suis intéressée il y a un moment mais je n’arrivais pas à vraiment cerner l’immense travail de Maria Montessori. Alors, j’ai fait appel à Elise Le Moine, qui est experte de la pédagogie Montessori.

Élise est éducatrice Montessori. Elle s’est formée à l’Institut Supérieur Maria Montessori, centre certifié par l’Association Montessori Internationale (AMI), autrement dit, la meilleure formation Montessori qui existe en France. Elle a travaillé en écoles Montessori et est maintenant derrière le compte MOHM.FR sur Instagram. Elle a à cœur d’accompagner les parents et les professionnels de la petite enfance pour appliquer la pédagogie Montessori au quotidien.

Elle est exactement la personne que je cherchais pour parler de ce sujet et j’ai pu lui poser toutes mes questions !

Écoutez l’épisode, c’est passionnant !

Élise nous expliquera ce qu’est la pédagogie Montessori et si nous pouvons présenter des activités Montessori à nos enfants, à la maison. Elle nous parlera aussi du fonctionnement des écoles Montessori et surtout de la façon dont on peut distinguer le « vrai » Montessori, du faux.

Vous pouvez retrouver Élise sur son compte Instagram et sur son site internet où vous trouverez toutes les formations qu’elle propose. Vous pourrez aussi vous inscrire à sa newsletter pour être informé de ses dernières nouveautés et des activités que vous pouvez mettre facilement en place à la maison.

Être affirmé est nécessaire dans la vie de tous les jours. Ça permet de faire ses propres choix, de ne pas se laisser marcher dessus, de faire ce dont on a envie, d’être aux commandes de sa vie. Et c’est une compétence qui s’apprend. Dans cet épisode, je veux vous donner les clés pour enseigner à vos enfants l’affirmation de soi.

Pour expliquer ce qu’est l’affirmation de soi, je vous propose de passer par un grand classique en coaching : le triangle dramatique, appelé aussi triangle de Karpman, du nom du psychologue américain qui l’a théorisé. C’est un jeu de rôle. Jeu auquel nous participons tou.te.s sans l’avoir en tête et justement, je vous propose de le conscientiser.

Je vous donne ensuite les clés pour apprendre à vos enfants à s’affirmer sans rentrer dans ce jeu de manipulation qu’est le triangle de Karpman.

Voici le deuxième épisode de ma série consacrée au cerveau des enfants. Dans l’épisode précédent, je vous expliquais des généralités sur le cerveau et à quel point votre action peut avoir des effets sur le développement du cerveau.

Dans cet épisode, je vais vous parler de l’intégration des cerveaux droit et gauche. Tout cela sera, évidemment, en lien avec l’éducation des enfants ! Je ne fais pas un exposé scientifique juste comme ça !

Pour cet épisode et le prochain, je m’appuie sur le livre passionnant « le cerveau de votre enfant » aux éditions Marabout écrit par les docteurs Siegel et Bryson. Ce bouquin est une mine d’informations pour comprendre ce qui se passe dans la tête des enfants.

Vous le savez peut-être déjà car c’est assez connu, le cerveau (de tous, enfants comme adultes) est divisé en deux hémisphères : un à gauche et un à droite. Et ces deux parties, qui sont anatomiquement séparées, fonctionnent différemment.

Je vous expliquerai quelles sont les caractéristiques de chaque hémisphère.

La plupart du temps, et sans apprentissage spécifique, c’est le cerveau droit des enfants qui domine. C’est quelque chose d’inné chez eux, dès leur naissance. L’utilisation du cerveau gauche demande, quant à lui, un peu plus de temps et de développement.

Or, pour être équilibré, il est primordial que ces deux hémisphères fonctionnent ensemble, de concert. Le droit ne doit pas prendre le pas sur le gauche et réciproquement.

Écoutez cet épisode pour savoir comment faire !

Que se passe-t-il dans la tête de nos enfants ?

Pourquoi ont-ils parfois des réactions disproportionnées que nous ne comprenons pas ?

Pourquoi restent-ils parfois sur un évènement de la journée sans passer à autre chose ?

Je me suis longtemps posé ces questions et j’ai un début de réponse : tout se joue dans la tête de nos enfants. Lorsque l’enfant naît, son cerveau n’est pas formé complètement. Il continue de se développer jusqu’à 25 ans environ.

Alors avec un cerveau non fini, comment nos enfants peuvent-ils avoir des réactions matures et raisonnables ? Ils ne le peuvent pas, évidemment !

Cet épisode est le premier épisode d’une série de trois épisodes consacrés au cerveau de nos enfants. Je commence cette série par poser les bases, les généralités sur le cerveau.

L’idée est de savoir comment le cerveau de notre enfant se développe pour s’y adapter et ajuster l’éducation que nous lui donnons en fonction de son développement neuronal.

Ne ratez pas les deux prochains épisodes !

C’est un sujet qui revient souvent : beaucoup de parents décrivent leur enfant comme hypersensible et/ou se décrivent eux-mêmes comme hypersensible.

Je ne suis pas très à l’aise avec cette reconnaissance d’hypersensibilité et je vous explique pourquoi. Je vous dirai également quel est l’immense côté positif à se reconnaître ou à reconnaître son enfant comme hypersensible.

Aujourd’hui, je voulais vous parler d’un sujet qui touche beaucoup d’entre vous. Vous êtes nombreux.ses à faire partie d’une famille recomposée. Vous êtes nombreux.ses à être un beau-père ou une belle-mère et ce n’est pas sans difficultés !

Je dois dire que quand j’ai commencé mes recherches sur internet à ce sujet, j’ai trouvé des choses plutôt effrayantes ! Comme si une famille recomposée était vouée à l’échec en provoquant des troubles mentaux à tous ses membres. Ça m’a beaucoup étonnée car pour moi, des familles recomposées, il y en a et le tableau n’est pas aussi noir que ce qui était décrit sur ces sites internet…

Donc voyons un peu comment vous rassurer sur le sujet des familles recomposées !

D’après moi, toutes les formes familiales sont possibles et peuvent être harmonieuses ! Si on prend un contre-exemple, toutes les familles composées du père et de la mère biologiques ne fonctionnent pas parfaitement bien. La caractéristique d’une famille épanouie, équilibrée, où chaque membre a sa place n’est donc pas sa composition. C’est peut-être un challenge supplémentaire, et encore…

Tout d’abord, qu’est-ce qu’une famille recomposée ?

Il s’agit d’une famille formée d’un couple et d’au moins un enfant issu d’une union précédente. Dans certaines situations, les deux membres du couple ont des enfants d’une union précédente, dans d’autres, c’est seulement l’un des deux. Et ce couple a généralement un ou des enfants en commun.

La conséquence de cette forme familiale est que certains enfants vivent au quotidien avec un adulte qui n’est pas son parent.

On dit que c’est une forme familiale récente car elle s’est popularisée en même temps que le divorce. Avant que le divorce soit un droit, les familles recomposées ne l’étaient que suite au veuvage d’un des deux parents. C’était donc beaucoup plus rare !

Mais aujourd’hui, c’est une composition familiale assez fréquente.

Je vous parlerai surtout des difficultés rencontrées dans une famille recomposée et de comment les surmonter.

Vous avez peut-être loupé l’info : je viens de créer un groupe facebook pour nous retrouver en dehors du podcast afin d'échanger sur votre parentalité et de bénéficier de mes conseils de coach et des conseils des autres parents membres du groupe !

Qu’est-ce que nous voyons quand nous regardons notre enfant ?

Est-ce que nous le/la voyons lui/elle, tel.le qu’il/elle est ? Ou est-ce que nous le/la voyons tel.le que nous voudrions qu’il/elle soit ?

Je me suis interrogée à ce sujet car certaines personnes autour de nous nous disent sans cesse : qu’est-ce qu’il ressemble à son père ! Elle a tes expressions !… ce genre de phrases. Je ne sais pas pourquoi ils disent ça. J’ai parfois l’impression que les autres veulent absolument trouver des points communs entre les parents et les enfants. Pour rassurer les parents peut-être, pour se rassurer eux, je ne sais pas…

Toujours est-il que même nous, les parents, nous voyons en notre enfant d’autres personnes que lui (par exemple l’autre parent, son frère ou sa soeur…) ou nous projetons sur lui nos aspirations, nos rêves, nos échecs. Si bien que nous risquons de ne plus voir notre enfant tel qu’il est, dans sa particularité, dans son unicité.

Dans cet épisode, je vous propose de vous interroger sur ce que représente, pour vous, votre enfant. De cette façon, vous déjouerez les projections et les désirs de réparation pour permettre à votre enfant d’être exactement la personne qu’il veut être et de faire exactement les choses qu’il veut faire.

Je vous retrouve après ces mois d’été, pendant lesquels, j’espère, vous avez passé de bons moments. Et après l’été, vient la rentrée !

La rentrée des classes est un évènement que l’on aime ou pas. Soit il y a de l’excitation, soit il y a du stress. Il peut aussi y avoir de l’émotion ! La rentrée, c’est une étape, je trouve. On voit notre enfant grandir d’un coup. Surtout s’il rentre en petite section de maternelle, donc à l’école pour la première fois ou en CP, en 6ème… Dans ces cas-là, l’enfant va être livré à lui-même pendant un certain laps de temps dans un environnement avec lequel il n’est pas familier, la plupart du temps.

Dans cet épisode, je vais vous parler de rentrée scolaire en maternelle ou primaire. Je vous donne les clés pour faire de cette rentrée un bon moment !

C’est bientôt les vacances !

Le moment où vous allez pouvoir déconnecter, vous reposer et vous retrouver en famille, avec vos enfants pendant un certain temps, temps pendant lequel vous allez être H24 avec vos enfants. Vos enfants vont aussi être ensemble pendant tout ce temps !

Dans ce contexte, vous comprenez bien que des tensions peuvent survenir !

Dans cet épisode, je vous donne les clés pour passer des vacances sereines en famille.

Anticipez, oubliez votre rythme habituel, lâchez-prise, prenez du temps pour vous, faites à la carte, profitez, impliquez vos enfants et pensez positivement !

C’est le cocktail pour passer d’excellentes vacances en famille, sans tension, sans dispute. Le pied !

Et pour en profiter à fond, j’ai fait un guide pour résumer cet épisode, pour que vous puissiez le consulter quand vous en ressentez le besoin sans qu’il soit nécessaire que vous écoutiez de nouveau cet épisode. 

C’est un sujet qui nous touche ou qui touche nos proches.

C’est un fait, à l’époque à laquelle on vit, les couples se font et se défont.

Tragédie pour certains, soulagement pour d’autres. Mais quoi que ce soit pour vous, il y a forcément des problèmes organisationnels et une période de transition difficile à vivre.

Ce qui m’intéresse, dans cet épisode, c’est la façon dont vous allez gérer la situation vis-à-vis de vos enfants dans le cadre de votre séparation ou de votre divorce. Je laisse donc de côté tout ce qui concerne les adultes en dehors de leur rôle de parent.

Je vous parle de comment annoncer la séparation à vos enfants et comment les accompagner dans ce chamboulement. Et surtout, je vous explique pourquoi il vaut mieux s’abstenir de dénigrer son coparent devenu votre ex-conjoint.e devant vos enfants.

Un épisode à mettre entre les mains de tous les parents qui se séparent !

Si vous m’écoutez depuis longtemps, je pense que vous mettez des choses en place pour améliorer votre parentalité. C’est tout à votre honneur. Bravo pour ça ! Oui mais voilà, il n’est pas toujours facile d’être constant.e et d’appliquer de nouvelles habitudes en permanence. Les anciennes habitudes ont la vie dure et ont tendance à revenir facilement puisque ce sont vos automatismes. Et un jour pas fait comme les autres, on craque. On est à bout.

Et alors ?

Et bien, alors, vous avez le droit ! Vous avez complètement le droit d’être à bout. Vous êtes comme moi, un être humain, parfaitement imparfait.e.

Dans cet épisode, je veux vous rassurer : être à bout arrive à tout le monde. Et je veux aussi vous inviter à repérer les circonstances qui vous mettent à bout pour mieux les prévenir et éviter cette crise.

Les enfants sont dans leur monde. Les enfants sont insouciants. Les enfants prennent leurs désirs pour la réalité.

Beaucoup d’affirmations ayant un sens péjoratif mais tout à fait vraies.

Oui, les enfants sont dans leur monde. Un monde dans lequel Spiderman existe, un monde dans lequel les licornes existent. Un monde dans lequel tout est possible, sans limite, sans contrainte, sans frein. Pourquoi s’en fixeraient-ils ?

Oui, les enfants sont insouciants. Ils n’ont pas vraiment le concept de futur. Ils ne se représentent pas vraiment l’avenir. Pour les enfants jeunes, c’est encore plus vrai car ils n’arrivent pas à faire la différence entre le passé, le présent et le futur. Pour eux, tout est du présent. Si déjà ils n’ont pas vraiment la notion du futur, pourquoi se feraient-ils du souci pour lui ?

Oui, les enfants prennent leurs désirs pour la réalité parce que pour eux, tout est possible. Encore une fois, ils ne se fixent pas de limites.

Alors, qui met fin à leurs rêves ?

Si vous avez un miroir à proximité, allez donc y jeter un oeil. C’est nous qui mettons fin à leurs rêves de la sorte.

Alors ça parait terrible comme ça, mais, avant de culpabiliser, allez écouter la suite.

S’il y a une chose à ne pas faire quand on devient parent c’est remettre en cause les décisions de l’autre parent devant son enfant. Je pense qu’on vous l’a dit et répété. C’est bien ancré. Oui, mais en pratique, c’est un tout petit peu plus compliqué que ça. Avant de vos expliquer quelles sont les bonnes pratiques et les astuces à mettre en place pour l’éviter, j’aimerais d’abord vous rappeler pourquoi c’est si mauvais.

J’aimerais aussi vous rassurer : se contredire est facile et je dirais même naturel. Il est impossible d’être toujours d’accord avec l’autre. Sinon, vous êtes une seule et même personne… Les désaccords sont complètement normaux. Ils font partie de la vie. Ce qui l’est moins, ce sont les disputes et les cris, mais sur ça, vous pouvez agir !

Les enfants changent en permanence ! Le monde change en permanence, les adultes aussi d’ailleurs. C’est illusoire de croire que les choses sont établies, qu’elles vont toujours être comme ça. Ce n’est pas vrai ! Tout change, tout évolue et heureusement d’ailleurs !

Et pour les enfants, on s’en rend compte plus facilement car les choses vont sûrement un peu plus vite. En effet, il y a une telle différence entre le nourrisson, l’enfant de 2 ans, de 7 ans, de 10 ans, de 14 ans ou de 18 ans !

Nous mêmes, nous ne sommes pas les mêmes parents lorsque nous avons un enfant de 14 ans ou de 2 ans.

Et nous devons nous adapter constamment à tous ces changements. C’est loin d’être facile !

Vous avez sûrement déjà entendu la remarque déplaisante « tu ne veux pas voir grandir ton enfant ! ». Si on enlève le côté jugeant de cette remarque, je dirais plutôt que certains parents ne voient pas que leur enfant grandit et, en conséquence, ne s’adaptent pas à l’enfant qu’ils ont devant eux.

C’est tout à fait compréhensible. Ça va tellement vite. Il faut suivre ! Et c’est difficile à suivre !

Vous pouvez également trouver que le lien est rompu avec votre enfant qui a grandi. Je vous propose deux exercices pour retrouver le lien.

Dès qu’un enfant pleure, certains considèrent qu’il fait un caprice. Ce n’est pas compliqué : il pleure, chouine, insiste pour avoir quelque chose = « arrête tes caprices ! ».

Je ne vais pas y aller par quatre chemins, je déteste ce terme « caprice ».

Ce terme est péjoratif. Un caprice, c’est mal. Un caprice est fait par un enfant déjà trop gâté qui veut quelque chose de plus. Un caprice, c’est immature. Un caprice, c’est injustifié, toujours. Un caprice, c’est demander trop.

Comme si les enfants faisaient quelque chose de mal de façon intentionnelle. Comme s’ils voulaient vous manipuler. Comme s’ils se changeaient en diablotins et qu’ils avaient des cornes qui leur poussaient sur la tête.

Ils sont victimes eux aussi de leurs émotions et de leur désirs et donc… de leurs caprices.

Le fait est que les enfants, ne maitrisant pas leurs émotions, ont souvent des émotions extrêmes et donc des colères. Et ils demandent beaucoup de choses parce qu’ils ne se mettent pas de limite. Ils ne se disent pas « ah non, ça je ne peux pas l’avoir ». Donc quand on mixe les deux, on arrive souvent à… des caprices.

Dans cet épisode, je vous propose des solutions pour réagir de façon appropriée aux caprices et les faire disparaitre.

Dans cet épisode, je vous invite à mettre plus de rire dans votre vie. Pourquoi ? Tout d’abord parce que c’est bon pour la santé.

Ensuite, parce que l’humour permet de désamorcer des situations tendues. Lorsque vos enfants sont fatigués, désobéissants, vous poussent à bout, vous pouvez vous énerver, leur crier dessus… ou, vous pouvez choisir de recourir à l’humour. Un trait d’humour détendra toujours l’ambiance et vous permettra de préserver votre relation avec vos enfants et même de la renforcer !

Enfin, parce que l’humour est l’apanage des optimistes, de ceux qui voient toujours le verre à moitié plein, de ceux qui voient toujours la vie du bon côté. Et je suis convaincue que la vie est plus simple, plus jolie, plus facile lorsqu'on est optimiste. Apprenez à vos enfants à choisir l’optimisme en toutes situations. Si vous l’êtes vous-mêmes, vos enfants le seront aussi, grâce aux neurones miroirs. 

Sujet frôlant la controverse !

J’ai presque l’impression de dire un gros mot quand je parle du tiers séparateur. Il y a clairement deux courants : celui qui ne jure que par le tiers séparateur et celui qui, au contraire, le dénigre. Pour ceux-là, ce serait une question de mode, de culture plus évoluée, une idiotie de progressiste féministe qui voudrait que le père de leur enfant s’implique plus, comme si c’était mal.

Bon, autant vous dire qu’il n’en est rien. La fonction du tiers séparateur n’est pas une nouveauté et n’est certainement pas une question de mode. C’est une réalité. Quelle vous plaise ou non, elle existe…

Et ce tiers séparateur est très important pour un développement harmonieux de l’enfant.

Je vous laisse découvrir comment en écoutant l’épisode.

Dans cet épisode, je vous parle d’un évènement ! Un évènement que nous connaissons toutes et tous, maman ou papa, c’est la reprise du travail, à la fin du congé maternité ou paternité.

C’est donc un épisode qui s’adresse aux très jeunes parents ou aux nouveaux parents, j’entends par là des parents qui ont déjà des enfants mais qui en ont un ou des nouveaux.

Peu importe qu’on le vive bien ou mal, on peut parler d’évènement. C’est le moment où vous allez devoir vous séparer, pendant assez longtemps, de votre bambin, où vous allez reprendre une vie sociale et professionnelle. Mais la vie sociale et professionnelle ne ressemble pas à celle d’avant puisqu’avant, vous n’aviez pas d’enfant à déposer le matin et à aller chercher le soir, à emmener chez le médecin et donc à caler les rdv dans votre emploi du temps, etc…

Peut-être également qu’à la reprise du travail, votre enfant ne fait pas encore ses nuits. Vous aurez donc à gérer votre manque de sommeil dans une journée ordinaire…

Pour en savoir plus sur ce chamboulement, écoutez l’épisode !

Je vous parle beaucoup dans ce podcast de « vous » en tant que parent, vis-à-vis de vos enfants. Je ne vous parle que de cela d’ailleurs, puisque c’est le sujet principal. Mais, je pense que vous l’aurez constaté par vous même, lorsqu’on devient parent, nous ne sommes pas « vierge » de toute notion d’éducation et de parentalité. Si nous exerçons un métier en relation avec les enfants, nous avons avec nous, ce que nous avons appris et expérimenté via notre activité professionnelle. Mais si ce n’est pas le cas, nous avons, comme tout le monde, y compris les professionnel.le.s de l’enfance, notre propre expérience d’enfant.

Mais, alors, quel est l’impact de la relation que nous avons avec nos propres parents sur nous, en tant qu’adulte et en tant que parent ?

Qu’est-ce que nous faisons et transmettons à nos propres enfants qui ne nous appartient pas ?

Que voulez-vous pour vous et vos enfants ?

Il est temps de faire le point !

Les « messages contraignants » ou « drivers » sont des injonctions implicites ou explicites exprimées à l’enfant qui sont une condition sine qua none à l’obtention de la reconnaissance du parent.

Ces drivers sont hérités de l’éducation que l’on a reçue. Ces messages ont tellement été dits et répétés qu’ils sont ancrés en nous.

Il y en a 5 : sois fort.e, sois parfait.e, fais plaisir, dépêche-toi, fais des efforts.

Dans cet épisode, je vous livre les phrases types, et leurs effets positifs et négatifs.

Vous vous reconnaîtrez forcément dans ces messages. En général, on en a un voire deux dominants mais on a aussi les autres.

Ecoutez cet épisode pour savoir ceux qui vous guident et que vous transmettez à vos enfants. Si, malgré vous, vous passez votre temps à dire et répéter à vos enfants l’un de ces messages contraignants, vous êtes sûr.e qu’il.elle aura les effets négatifs. Mais aussi positifs… Donc, il est question de subtilité.

Je vous donne les clés pour tempérer vos messages contraignants auprès de vos enfants pour qu’ils en tirent les effets positifs sans être écrasés par leurs effet négatifs.

Et vous, quel est le vôtre ?

Pourquoi les enfants n’ont pas envie de faire leurs devoirs ?

Parce que ça ne les intéresse pas.

Parce qu’ils en ont assez ! Ils en ont marre, après une journée entière à l’école, pfff, travailler encore…

Parce qu’ils n’y arrivent pas. Ils ne comprennent pas, c’est dur, ils se trouvent en difficulté.

Parce qu’ils ne voient pas l’intérêt d’apprendre tout cela, de faire cet exercice, de relire ce texte…

Parce qu’ils ont mieux à faire, comme aller jouer.

Parce qu’ils ne sont pas dans de bonnes conditions pour travailler, pas bien installés, dans un endroit bruyant par exemple avec un cadet qui fait du bruit à côté ou la télé allumée.

Parce qu’ils ont beaucoup de devoirs, trop d’après eux et que la tâche leur parait insurmontable.

Parce qu’ils ont beaucoup de pression sur eux, ils visent l’excellence ou plutôt leur parent et/ou leur enseignant ou enseignante visent l’excellence pour eux.

Que de raisons de ne pas vouloir faire ses devoirs !

Mais alors, comment faire en sorte d’accompagner nos enfants pour les devoirs en passant un moment agréable ?

C’est ce que je vous explique dans cet épisode !

Pourquoi les enfants ne font-ils pas exactement ce qu’on veut, quand on veut ? Notre vie serait bien plus simple ! Bien plus bizarre aussi. Vous avez déjà vu des enfants qui obéissent au doigt et à l’oeil ? Ce sont des enfants qui vont mal !

Dans cet épisode, je vous explique pourquoi un enfant désobéit. Vous allez voir que la plupart du temps, un enfant ne fait pas exprès de désobéir. Il peut désobéir car il n’a pas compris la consigne, ne l’a pas entendue, ne voit pas l’intérêt de faire ce que vous lui demandez de faire, vous imite…

Je vous explique ensuite ce que je vous déconseille de faire quand un enfant désobéit :

Au lieu de cela, rappelez la règle, expliquez pourquoi vous avez posé cette règle et quelles en sont les conséquences.

Et surtout, valorisez vos enfants lorsqu’ils vous obéissent. Ils auront envie de recommencer !

Aujourd’hui, je voulais vous parler d’ingratitude. C’est un sentiment auquel nous faisons souvent face, nous parents. Nous faisons souvent face à l’ingratitude de nos enfants.

Nous nous démenons pour eux et eux ne le remarquent même pas. Ils n’en n’ont rien à faire.

Je suis sûre que vous avez tou.te.s déjà expérimenté l’ingratitude. Avec les enfants, c’est plutôt facile !

Mais saviez-vous que vos enfants ne vous doivent rien ?

C’est sûrement dur à entendre, à réaliser, mais il n’y a rien de plus vrai. Nos enfants ne nous doivent rien !

Et, est-ce que vous, parents, vous savez ce qu’est la gratitude ? Est-ce que vous l’expérimentez au quotidien ?

Est-ce que vous transmettez la gratitude à vos enfants ? Car le meilleur remède pour lutter contre l’ingratitude est d’apprendre la gratitude, apprendre à être reconnaissant. Si vos enfants ne savent pas ce qu’est la gratitude, comment voulez-vous qu’ils la ressentent ?

Je vous explique comment leur apprendre la gratitude dans cet épisode.

A quel point notre propre enfance a-t-elle un impact sur notre parentalité ? 

A quel point les blessures du passé irradient-elles encore sur l’adulte et le parent que nous sommes devenus ?

Chacun a sa réponse je crois. Mais nul doute que l’impact est grand.

Alors que faut-il faire ? Faut-il continuer à ressasser les rancunes et les blessures du passé ? Ou faut-il, au contraire, s’en affranchir pour vivre exactement la vie que l’on s’est choisie et être la personne que l’on a envie d’être ?

Par cet épisode, je souhaite vous que vous vous ouvrirez à cette réflexion car votre passé est en vous et a un impact sur la personne et le parent que vous êtes aujourd’hui, sans que vous en ayez conscience.

Ah l’échec ! Nous le redoutons tellement. Et quand il s’abat sur nous, c’est la catastrophe. C’est comme si notre être était vicié. Nous avons honte, nous ne savons plus où nous mettre. Nous voudrions nous cacher dans un trou de souris.

L’échec nous cause de la honte, un dénigrement de soi. L’échec c’est le rejet des autres. Bref, l’échec c’est terrible.

Aujourd’hui, je vous propose une autre voie. Si, au lieu de vous dire que vous avez échoué, vous vous disiez que vous arrêtez d’essayer. Vous n’avez pas échoué, vous avez décidé d'arrêter d’essayer.

Ne serait-ce pas formidable de vivre dans un monde dans lequel vous essayez et vous avez pris la décision (ou on a pris la décision pour vous) d’arrêter d’essayer ? C’est d’autant plus formidable que ça marche avec tout !

Lorsque j’ai eu mon premier enfant, on m’a donné beaucoup de consignes. Il ne fallait absolument pas faire telle chose ou il fallait absolument faire telle chose. Pourquoi ? Parce que sinon, mon enfant ne se développerait pas bien, parce que mon enfant pourrait être malade, parce que mon enfant pourrait avoir des troubles, quels qu’ils soient… Comme s’il y avait une façon, une seule, de s’occuper d’un enfant, de le nourrir, de l’élever, d’en prendre soin.

Il n’y en a pas une seule. Parce que tout cela est grandement culturel.

On ne vit pas la grossesse de la même façon en Chine, en Bolivie ou au Monténégro.

On n’accouche pas de la même manière au Brésil, en Australie, ou au Cameroun.

On ne vit pas le même post-accouchement en Israël, au Pakistan ou en Finlande.

On ne nourrit pas les enfants de la même façon au Kenya, au Royaume-Uni, en Guadeloupe.

On ne couche pas les enfants de la même façon en Argentine, en Mongolie ou en Australie.

Je suis sûre qu’à un moment ou à un autre dans votre vie, peut-être l’expérimentez-vous encore, vous avez manqué de confiance en vous. Et peut-être même que ce manque de confiance en vous vous pèse et vous empêche d’avancer.

Mais d’après vous, qu’est-ce que la confiance en soi ?

Dans cet épisode, je vous explique qu’elle est souvent confondue avec l’assurance et l’extraversion. Je vous donne des pistes pour que vous ayez enfin confiance en vous, pour l’adulte et le parent que vous êtes.

Et enfin, je vous donne 4 façons de donner confiance en eux à vos enfants.

Aujourd’hui, je veux que vous fassiez le plein de confiance en vous ! Je veux que vous vous rendiez compte que vous êtes un parent extraordinaire !

Comment je le sais ?

Tout simplement parce que j’observe autour de moi et je vois des parents qui se démènent pour leur.s enfant.s.

Des parents qui donnent le meilleur d’eux-mêmes pour leur.s enfant.s.

Des parents qui vont déposer leur aîné au foot, puis ensuite, déposer la deuxième à la danse, en profiter pour faire quelques courses puis retourner chercher les enfants et rentrer pour préparer un repas sain et équilibré.

Des parents qui vont se lever la nuit parce que leur enfant a fait un cauchemar ou pipi au lit ou a faim, si c’est un bébé, en encaissant la fatigue.

Des parents qui veillent à ce que leurs enfants grandissent dans un environnement sain, avec du confort matériel.

Des parents qui passent leur temps à prendre leurs enfants dans leurs bras, à les consoler, les réconforter, leur donner du courage pour ce qu’ils doivent vivre.

Des parents qui se démènent pour chercher des solutions pour leurs enfants que ce soit face à un diagnostic médical, face à un problème de garde, face à un problème au sein du couple parental, face à un problème à l’école… Et face à n’importe quel problème, les parents se creusent la tête pour trouver une solution. Et la plupart du temps, ils y arrivent très bien !

Donc, bravo chers parents ! Ce que vous faites est très bien.

Continuez comme ça ! Vos enfants ne le voient pas forcément, peut-être que votre conjoint, ou vos proches ne le voient pas, mais peu importe.

Vous avez ça en vous, continuez !

Nous baillons quand nous voyons quelqu’un bailler.

Le burn out parental touche plus de personnes que l’on croit. Et cela peut vous surprendre mais personne n’est à l’abri. Personne !

Dans cet épisode, je m’efforce de désacraliser le burn out parental. Ce n’est pas quelque chose que seul un type de personnes a, comme les femmes ou les personnes qui ne savent pas s’organiser. Ce n’est pas quelque chose qui ne concerne qu’un type de personnes. Le burn out parental peut toucher tout le monde sans distinction.

Et c’est une réelle souffrance pour les personnes atteintes. Ce n’est pas juste une petite déprime passagère.

Un mot d’ordre : se faire aider !

Les enfants mentent. Certains adultes aussi. Peut-être apprenez-vous à vos enfants à ne pas mentir. Et pourtant, vos enfants vous mentent quand même !

Mais est-ce que vraiment tous les enfants mentent ?

Pourquoi mentent-ils ?

Comment réagir face aux mensonges ?

Comment les faire cesser de mentir ?

Je vous invite à écouter ou réécouter l’épisode 19 « comment en finir avec la punition » que j’évoque dans cet épisode sur le mensonge.

Sujet éminemment controversé : la punition. La punition fait partie des violences éducatives ordinaires (VEO) à bannir. D’accord, mais je pense que l’on a tous été punis quand nous étions enfants - que ce soit par nos parents, nos grands-parents ou à l’école (pensez aux lignes à copier, aux heures de colle…) - et pourtant, nous allons bien (du moins, à peu près).

Alors pourquoi ne faudrait-il pas que l’on punisse nos enfants ?

Et puis surtout, qu’est-ce qu’on fait si on ne punit pas ? On laisse faire ?

Je réponds à toutes ces questions et à d’autres dans cet épisode.

Nous vivons longtemps avec nos frères et soeurs. Si la relation que vos enfants ont entre eux est chaotique, cela peut être un véritable enfer pour les enfants comme pour leurs parents. Et la relation que l’on a avec les autres membres de la fratrie détermine l’adulte que nous devenons. Cela peut également créer des blessures profondes d’enfance.

Dans cet épisode, je vous explique quels sont les écueils à éviter pour faire en sorte que tous les membres de la famille s’entendent bien, gage d’une bonne ambiance au sein de la famille.

Aujourd’hui, je vous parle de culpabilité. Je crois que c’est l’une des émotions négatives que nous ressentons le plus en tant que parent.

Est-ce qu’on fait bien les choses ?

J’aborde la question épineuse des écrans. Faut-il laisser son enfant devant un écran ou les interdire complètement ? Quelle est la dose journalière à ne pas dépasser ? Est-ce qu’il y en a une ?

L’utilisation des écrans fait polémique dans notre société. On a l’idée que les enfants passent beaucoup trop de temps devant un écran, à les en rendre idiots. Mais est-ce que c’est vrai ?

Qu’est-ce que l’éducation positive ou bienveillante ? Est-ce que si nous ne la pratiquons pas, nous sommes négatif ou malveillant ?

Dans cet épisode, je vous explique ce qu’est vraiment l’éducation positive. Vous apprendrez d’ailleurs que vous la pratiquez déjà sûrement. L’éducation positive repose sur le postulat suivant : les enfants sont des êtres humains à part entière et pas des « sous-humains » qui n’ont pas de droits, de sentiments, d’envies, de rêves et que l’on peut manier, utiliser, à sa guise.

Une fois que vous aurez écouté l’épisode, j’aimerais beaucoup savoir ce que vous pensez de l’éducation positive et si vous la pratiquez. Dites-moi tout !

Vous êtes en train de faire les courses et votre enfant veut que vous lui achetiez quelque chose. Vous refusez et il se met à hurler, à se rouler par terre.

Tout le monde vous regarde. Vous pensez qu’ils pensent que votre enfant a un problème, que vous êtes un mauvais parent.

Vous avez envie de vous cacher dans un petit trou.

C’est un moment difficile à vivre. Encore plus si le même type de situation vous arrive en présence de vos proches.

Alors comment faire pour ne pas se liquéfier sous le feu de ces regards ?

C’est ce que je vous explique dans l’épisode de cette semaine. Une chose à retenir : le seul avis qui compte concernant la façon dont vous élevez vos enfants est le vôtre.

Cette semaine, je continue de vous parler de sommeil.

Quel est le meilleur endroit pour dormir ?

Je fais également un focus sur le sommeil du nourrisson qui bien sûr a ses particularités.

Et enfin, je vous parle de deux troubles du sommeil : les terreurs nocturnes et les cauchemars.

Je vous invite à écouter l’épisode précédent avant d’écouter celui-ci.

J’ai élaboré cet épisode grâce à ces sources :

Nous passons un tiers de notre vie à dormir. Un tiers ! Et pourtant, nous savons si peu de choses à propos du sommeil ! Quand dormir ? Combien de temps ? En une seule fois ou en plusieurs ?

Dans cet épisode, j’essaye de démêler un peu tout cela. Je parle du sommeil de façon générale, aussi bien pour les adultes que pour les enfants. Ainsi, vous saurez un peu plus pourquoi il est si dur d’être privé de sommeil et pourquoi les enfants ne dorment pas toujours (suffisamment).

Comme un épisode ne suffit pas pour traiter du sujet, l’épisode de la semaine prochaine sera la suite de celui-ci.

J’ai élaboré cet épisode grâce à ces sources :

Vous n’en pouvez plus. Vous êtes à bout. Tellement de choses à faire et si peu de temps et d’énergie…

Votre entourage ne sait pas ce que vous ressentez ou l’ignore. Vos enfants n’ont aucune reconnaissance pour tout ce que vous faites pour eux. Ils sont ingrats.

Et tout cela vous pèse.

Mais comment faire autrement ?

Dans cet épisode, je vous parle du sentiment, que je connais bien, d’être débordé.e. De ne plus savoir par quoi commencer tellement il y a de choses à faire. Et de toute façon, dès qu’une chose est faite, il y en a deux ou trois qui se sont rajoutées !

On peut se perdre dans ce trou sans fond.

Mais, c’est quelque chose sur quoi vous pouvez agir. Je vous explique comment faire pour ne plus ressentir ce débordement, cet étouffement.

Le temps est sûrement la ressource que nous gaspillons le plus. Surtout lorsqu’on est parent. Mais une journée ne dure que 24 heures. Et n’est pas renouvelable. Alors autant l’utiliser à bon escient.

Est-ce que vous utilisez votre temps pour votre essentiel ? Est-ce que vous faites des actions qui entretiennent l’équilibre de votre vie, votre épanouissement, qui incarnent la vision de votre vie ?

Dans cet épisode, je vous aide à trouver votre essentiel pour que vous puissiez recentrer vos actions, vers cet essentiel. Pour ce faire, je vous explique le conte des gros cailloux, qui est très connu en développement personnel et en gestion de temps, et je m’appuie sur la 3ème habitude des « 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent » de Stephen R. Covey.

La naissance d’un enfant est, la plupart du temps, un évènement empli de bonheur. Empli de bonheur oui mais qui chamboule tout ! Il chamboule fondamentalement notre vie. Et, il chamboule aussi l’organisation familiale, la place de chacun au sein de la famille. S’il y a des aînés, ils peuvent se sentir rejetés, et éprouver de la jalousie.

Dans cet épisode, je vous livre mes recommandations pour que l’arrivée d’un premier enfant ou d’un deuxième, troisième, ou plus si vous êtes vraiment courageux.se se passe au mieux.

Ma recommandation principale est de baisser votre niveau d’exigence envers vous-même, envers votre co-parent, envers vos autres enfants si vous en avez d’autres, envers la tenue de votre maison. Bref, envers absolument tout. Laissez-vous le temps d’accueillir cet enfant avant de reprendre une vie plus routinière !

Je vous recommande également d’écouter ou de ré-écouter l’épisode 4 « l’accueil des émotions » qui vous donne des clés pour déchiffrer et accepter les émotions paradoxales ressenties par vos aînés.

🎶 «  Fais pas ci, fais pas ça

Viens ici, mets-toi là

Attention prends pas froid

Ou sinon gare à toi  » 🎶

Cette semaine, je vous parle du cadre. Pas celui qui sert à encadrer nos photos mais l’ensemble de règles que l’on impose à nos enfants.

Un cadre trop épais inhibe nos enfants. Un cadre aux contours flous ou à l’absence de contours plonge nos enfants dans l’insécurité et la frustration.

Mais alors comment faire pour poser un cadre ni trop fin, ni trop épais et fixe ?

Dans cet épisode, je vous invite à une réflexion autour du cadre que vous posez et de la façon dont vous le respectez et le faites respecter.

Je vous invite également à écouter ou réécouter l’épisode 1 de ce podcast « Comment parler aux enfants » dans lequel je décris l’outil DESC qui vous permettra d’entamer une réflexion et une discussion constructive pour discuter en famille des règles de fonctionnement qui conviennent à tous.

Il est têtu.

Elle est sage.

Il est timide.

Elle enquiquine tout le monde.

Avez-vous déjà qualifié l’un de vos enfants ainsi ou autrement ? Le répétez-vous souvent ?

Et pourtant, je suis sûre que vous aimeriez qu’il/elle soit différent.e. L’inverse en fait.

S’il est têtu, vous aimeriez qu’il entende raison facilement. Si elle est sage, cela vous inquiète car est-ce bien normal ? S’il est timide, vous aimeriez qu’il soit audacieux. Si elle enquiquine tout le monde, vous voudriez qu’elle laisse les autres tranquilles.

Pourtant, en donnant un qualificatif à votre enfant, vous lui avez collé une étiquette, vous l’avez enfermé dans un rôle. Un rôle qui ne lui va peut-être pas. Un rôle qui fait peser sur lui ou elle beaucoup de pression. Un rôle, dont peut-être, il veut se défaire. Et peut-être que vous aimeriez lui donner un autre rôle…

Dans cet épisode, je vous explique comment défaire vos enfants des étiquettes que vous leur avez données, bien malgré vous, pour qu’ils soient enfin la personne qu’ils ont envie d’être.

Vous comparez-vous aux autres qui font tout mieux que vous, qui sont, de façon générale, mieux que vous ? Eux, ils sont parfaits !

Vous reprochez-vous votre imperfection ? Vous reprochez-vous de faire des erreurs ? Dans la vie en général mais surtout en tant que parent ?

Et pourtant, qui est parfait ? Qui n’a jamais fait d’erreur ?

Personnellement, je ne les compte plus, mais j’en fais au moins une fois par jour. Toutes n’ont pas les mêmes conséquences. Beaucoup n’impactent que moi. Mais certaines impactent les autres, notamment mes enfants.

Oui, car je ne suis pas parfaite. Et mes enfants non plus, ne sont pas parfaits.

Je me porte bien mieux en acceptant cette imperfection. Je suis moins épuisée, j’ai moins de pression et je transmets moins tout cela.

Dans l’épisode de cette semaine, je vous explique comment arrêter de courir après la perfection, comment réagir face à nos erreurs et surtout comment réagir face aux erreurs de nos enfants.

« Nooooooooon ! »

« J’aime pas »

« J’veux pas »

La tyrannie des deux ans, la période du non, les terrible twos, la phase d’opposition, appelez-la comme vous voulez, elle fait mal !

Votre petit chérubin se change, du jour au lendemain, en petit diablotin.

Ça fait drôle ! C’est parfois incompréhensible. Et il nous faut toujours de la patience !

Je vous parle en détail de cette tyrannie des deux ans dans cet épisode. Je vous explique à quel point elle est primordiale pour notre enfant et comment l'accompagner au mieux en gardant notre calme.