la Boîte À Outils des parents - le podcast pour une parentalité épanouie, sereine et apaisée

Une chose que l’on remarque facilement chez les adolescentes est qu’elles prennent des risques comme si elles n’avaient plus la capacité cognitive de se dire que là, non, il vaut mieux ne pas faire ça parce que c’est dangereux. Comme si elles étaient idiotes, comme si elles étaient déconnectées. 

Si bien que la mortalité est trois fois plus élevée pendant cette période que pendant toutes les autres périodes de la vie ! C’est le risque de causes évitables qui explose. L’adolescence est une période de notre vie où nous sommes en bonne santé. C’est le moment pendant lequel nous avons la meilleure santé. Les causes évitables sont les accidents, les suicides, la consommation de drogues et alcool qui peuvent entraîner des séquelles ou des décès. 

Les ados ont un fort attrait pour la nouveauté et questionnent les limites. Elles les repoussent. 

Alors comment limiter les risques ? 

Comment leur faire comprendre qu’elles ne sont pas invincibles ? 

C’est que je vous explique dans cet épisode.

Beaucoup de parents ont été confrontés à la difficulté d’avoir un enfant : des parents infertiles ou homosexuels. Ces parents ont eu recours à la PMA, la FIV ou l’adoption et ça a fonctionné pour eux. 

Mais après ce parcours si difficile, si incertain, comment se passe la vie une fois que l’on tient cet enfant tant désiré dans les bras ? 

Est-ce qu’on le surprotège ? Est-ce qu’on le couve ? Est-ce qu’on agit comme si de rien n’était ? 

Il n’est pas évident de répondre à ces questions puisque nous n’avons pas eu d’autres essais pour comparer ! 

Mes coachées me rapportent tout de même que cet enfant est si précieux qu’elles le surprotègent, ce qui peut, dans certains cas, ne pas être sain. 

Dans cet épisode, je vous propose quelques recommandations pour trouver votre équilibre avec cet enfant issu d’un parcours d’infertilité. 

Comme les raisons pour lesquelles vous pouvez avoir une relation fusionnelle avec votre enfant sont si nombreuses, vous pouvez également écouter cet épisode si vous n’avez pas eu de difficulté à avoir votre enfant. 

La question mérite d’être posée étant donné que beaucoup d’adultes croient que les enfants doivent avoir peur d’eux pour se faire obéir. Et beaucoup d’enfants ont effectivement peur des adultes qui les entourent. 

Pourquoi cette méthode éducative ? Pourquoi certains parents n’arrivent-ils à se faire obéir et respecter que par la peur ? 

La plupart du temps, c’est parce qu’ils ont eux-mêmes été élevés comme ça et qu’ils trouvent que ça fonctionne, ou qui ne se posent pas de questions sur l’éducation. 

Mais ce n’est pas la seule méthode éducative, heureusement ! Cette méthode éducative a pour conséquence que les enfants ont une faible estime d’eux et qu’ils n’ont pas confiance en eux. 

Dans cet épisode, je vous propose donc des alternatives pour se faire obéir et respecter tout en conservant une relation puissante avec ses enfants. 

Les enfants HPI étant le plus souvent,(v à s) plus « difficiles » pour toutes les raisons que je vais bientôt évoquer, c’est souvent une raison pour laquelle mes coachés font appel à moi. 

2,3% de la population est HPI. Ce ne sont que les surdoués qui ont passé le test. Ceux qui s’adaptent, ceux qui n’ont jamais trouvé de réponse à leurs particularités ne font pas partie de ce pourcentage. En réalité, la population de surdoués est beaucoup plus importante. J’en vois beaucoup autour de moi, certains avec certitude, d’autres que je soupçonne d’être HPI. Peut-être que votre enfant l’est et que vous l’ignorez. C’est la raison pour laquelle je vous propose cet épisode. 

Je ne veux pas, par cet épisode, poser un diagnostic sur vos enfants ou vous donner la possibilité de le faire. Un seul moyen pour être sûr.e que son enfant est HPI : lui faire passer le test WISC V qui est un test de QI. C’est un professionnel, psychologue ou psychiatre qui est spécialement formé pour faire passer ces tests. 

Dans cet épisode, je liste une partie des caractéristiques des enfants HPI qui vous permettront de le reconnaître ou d’éliminer cette idée au sujet d’un enfant en particulier. 

Être HPI n’étant pas un don du ciel et s’accompagnant de nombreux défis, je vous propose des remèdes à ces défis, des astuces pour accompagner un enfant surdoué. 

Être surdoué, HPI ou zèbre est une façon d’être au monde plus qu’une intelligence supérieure. Faites tester votre enfant ! 

Qu’est-ce qu’un coaching parental ? Pourquoi y avoir recours ? Et quand faire appel à un coach ? 

Vous trouverez les réponses à ces questions dans cet épisode. 

Pour vous expliquer comment se déroule un coaching parental, je m’appuie sur les nombreux coachings que j’ai menés auprès de mes coachées depuis que je suis coach parental certifiée par la haute école de coaching. 

Vous apprendrez les raisons qui poussent les parents à venir me voir : certains sont épuisés par leur rôle de parent et sont proches du burn out parental ou sont en burn out parental, d’autres, sans être dans cet état de détresse, cherchent des réponses pour renforcer le lien qu’ils ont avec leurs enfants. 

Je vous parle également des trois principaux apports du coaching : se sentir écouté.e et compris.e, l’acquisition de connaissance sur le développement et le fonctionnement de vos enfants et un travail de développement personnel sur le parent. 

Et enfin, j’aborde les bénéfices du coaching. Ils sont nombreux mais peuvent se résumer ainsi : vous  êtes le parent que vous voulez être pour vos enfants. Vous avez retrouvé votre sérénité et votre bien-être. 

La rentrée scolaire approche et avec elle la reprise des routines. Je vais vous parler aujourd’hui de la routine du matin car si elle est fluide, tant mieux, tout le monde commencera la journée du bon pied. Mais si elle n’est pas fluide, si les rouages sont grippés et que toute la maisonnée est sous tension, c’est un très très mauvais départ pour la journée, aussi bien pour les enfants que pour les parents. 

Donc, autant partir du bon pied, commencer la journée de la meilleure des façons possibles. 

Dans cet épisode, je vais vous proposer de nouvelles façons de faire pour que vous ayez des matins sereins. La clé est d’établir des routines matinales, routines qui sont importantes pour tous les moments charnières mais d’autant plus pour commencer la journée. Je vous explique évidemment comment mettre en place des routines matinales pour des matins sereins avec vos enfants.

Les enfants qui sont trop sur les écrans sont une raison pour laquelle les parents font appel à moi en tant que coach parental. Je vous l’ai dit dans d’autres épisodes, j’ai une expertise particulière sur les écrans. Une personne est dépendante aux écrans lorsqu’elle ne peut pas s’en passer, lorsqu’elle est dessus du matin au soir, à tout moment de la journée ou de la nuit. 

Si je m’arrête là, j’imagine que cette description correspond à beaucoup de personnes autour de nous et même à soi-même. Je pense qu’il est donc essentiel de préciser que la consommation d’écran est vraiment problématique lorsqu’elle a des conséquences sur le déroulé d’une vie normale : est-ce que les écrans (téléphone, jeux vidéo, films et dessins animés) empêchent une personne de vivre normalement ? Est-ce que cette personne s’isole socialement ? Est-ce que cette personne rate des évènements comme des sorties, des cours, le travail ? Est-ce que cette personne ne communique plus que par écrans interposés ? Est-ce que cette personne ne dort plus ? 

Ce sont toutes ces questions que vous devez vous poser pour déceler une dépendance inquiétante aux écrans ou non. 

Découvrez dans cet épisode ce qui favorise l’addiction aux écrans et comment sevrer vos enfants pour qu’ils passent moins de temps devant les écrans ! 

C’est une remarque que se font beaucoup de parents et beaucoup de mes coachés. Pourquoi mon enfant est-il un ange à l’extérieur et dès qu’on a passé le pas de la porte, il se change en petit diable ? 

C’est une situation exaspérante mais qui s’explique très facilement par le fait que vous êtes la figure d’attachement de votre enfant, vous lui avez assuré votre amour inconditionnel. 

Toute la journée, votre enfant doit suivre des règles qui peuvent être une véritable contrainte pour lui. Lorsqu’il vous retrouve le soir, il a besoin de se décharger émotionnellement, de faire sortir toute la frustration accumulée et il peut faire une crise de nerfs. Cela peut être très difficile à gérer pour vous. 

Dans cet épisode, je vous aide à comprendre le comportement de votre enfant et je vous propose des astuces pour l’éviter.

Ecoutez-le ! 

Nous avons tendance, nous parents, à mettre nos enfants devant la télé pour avoir la paix. Il n’y a aucune honte ou culpabilité à avoir par rapport à ça. C’est très pratique ! On sait que lorsque nos enfants sont devant un écran, ils ne bougent pas, ils ne se chamaillent pas avec leurs frères ou sœurs, ils ne viennent pas nous déranger. Je pense que la télé nounou commence de cette façon-là. Et puis, progressivement, peut se mettre en place le réflexe écran : on donne à notre enfant un écran dès qu’il a un moment perdu (en voiture, dans une salle d’attente…). Je vous propose de bannir ce réflexe écran et d’établir des règles, des cas précis dans lesquels vous allez vous servir de cette télé nounou. 

Vous avez envie que votre enfant passe moins de temps sur les écrans ?

Ecoutez l’épisode !

Une question qui vient de beaucoup de parents : comment faire quand mon enfant ne veut rien manger ? 

Avec cette question vient aussi l’angoisse de bien élever son enfant, bien le faire manger pour qu’il ait suffisamment de vitamines, de bonnes choses dans son corps pour qu’il grandisse bien.

Dans cet épisode, j’essaie surtout de vous déculpabiliser et de vous comprendre : avoir un enfant qui est difficile par rapport à l’alimentation est un stress fréquent. En général, le petit-déjeuner et le goûter sont assez simples donc le stress revient deux fois par jour, pour le déjeuner et le dîner ! C’est beaucoup ! 

Je vous propose donc de vous interroger sur les raisons pour lesquelles votre enfant ne mange pas. Il y en a forcément ! Les comprendre permettra de trouver une solution. 

Est-ce que votre enfant grignote entre les repas ? 

Est-ce que votre enfant prend un trop gros petit-déjeuner ou goûter ? 

Est-ce que votre enfant n’aime pas ce que vous lui préparez à manger ? 

Je vous recommande également de ne pas forcer votre enfant à manger.

Bref, vous trouverez, dans cet épisode, plein d’astuces, d’idées pour que les repas avec vos enfants se passent mieux ! 

Certain.e.s de mes coaché.e.s croient que la crise d’adolescence commence vers 12/13 ans et que c’est seulement à ce moment-là que les enfants vont vous dire un « oh c’est bon ! » dès que vous allez leur demander quelque chose, et qu’ils ne vont vous répondre qu’à partir de cet âge-là. Que nenni ! Je suis désolée de vous le dire mais la crise d’adolescence comme on l’entend n’a pas de début ni de fin en réalité. Tout au long de l’enfance, notre enfant se développe, se construit, fait des expériences, s’affirme et ça peut donner lieu à de l’insolence et de la réponse dès le plus jeune âge.

Dans cet épisode, je vous parle de la façon de réagir lorsque votre enfant est insolent ou vous répond. Ça va peut-être vous surprendre mais je ne vais pas vous recommander de le priver de télé pendant un mois et de l’envoyer dans sa chambre réfléchir à ce qu’il vient de dire. Au contraire, je vous préconise de comprendre ses raisons, de comprendre pourquoi votre enfant est insolent ou vous répond et de lui apprendre à mieux s’exprimer.
Mais attention : ça ne veut pas dire accepter le manque de respect de la part de ses enfants ! 

Ah, l’autorité ! Grande question n’est-ce pas ? Pourquoi les enfants ne font-ils pas exactement ce qu’on leur demande au moment où on leur demande ? C’est la question que me posent beaucoup de mes coachés. 

L’autorité peut être définie comme le pouvoir de se faire obéir par ses enfants. Mais pourquoi aurions-nous ce pouvoir ? Pourquoi nos enfants nous reconnaîtraient-ils ce pouvoir ? Pourquoi nos enfants nous obéiraient-ils au doigt et à l’œil ? 

Eh bien parce qu’on a construit une relation basée sur l’amour, la confiance, la compréhension, l’empathie, la constance, le respect, la tolérance, le droit à l’erreur et pas sur la peur. La peur fonctionne aussi mais à quel prix ? 

Dans cet épisode, je vous explique comment retrouver votre autorité. 

Cet épisode tombe à pic si c’est bientôt Pâques, Noël, un anniversaire ou un autre évènement qui vous amènera à retrouver votre famille ou vos amis. Un évènement où il y aura beaucoup de monde avec qui vous êtes plus ou moins proche. 

Beaucoup de monde qui sera certainement très content de voir vos enfants. Peut-être que ces personnes-là ne les voient pas beaucoup, ne les connaissent pas beaucoup. Peut-être qu’il y aura d’autres enfants, qui auront d’autres règles, éloignées des vôtres. Peut-être qu’il y aura des personnes qui savent mieux que vous comment vivre votre vie, élever vos enfants, prendre des décisions. 

Peut-être qu’il n’y aura rien de tout ça, que vous allez passer un super moment avec ces personnes-là. Mais peut-être qu’il y aura quand même deux ou trois petites choses à encaisser sans se braquer et sans faire d’esclandre. 

Voici un mode d’emploi de la survie aux réunions de famille. 

Dans cet épisode, je parle de donner et d’écouter la parole des enfants, autrement dit, je parle de consentement. Je parle aussi des questions idiotes qui nous énervent comme « alors, tu as une amoureuse ? » si l’enfant est un garçon ou « tu as un amoureux ? » si l’enfant est une fille. Je parle enfin des règles différentes auxquelles peuvent être confrontés nos enfants. Chez nous, ils sont autorisés à faire quelque chose et chez nos hôtes, ils en sont interdits, ou vice versa, ce qui peut être déstabilisant pour nos enfants. 

Dans mes coachings parentaux, j’ai souvent cette question : est-ce que mes enfants sont trop gâtés ?

Comme s’il ne fallait surtout pas qu’ils le soient car cela signifierait que les enfants sont des rois et des reines, intolérant.e.s à la frustration et non confronté.e.s à la dure réalité de la vie. Pour certains parents, il faudrait même faire exprès de frustrer les enfants, même s’il est possible d’accéder à leurs demandes afin d’éviter qu’ils ne soient trop gâtés.

À mon avis, ça va un peu loin…

Déjà, le terme « gâté » a une connotation négative. Gâter, c’est donner trop et c’est mal.

Cela transformerait-il nos enfants en tyrans ? Notre autorité parentale serait-elle en péril ?

Dans cet épisode, je m’interroge sur ce qu’est un enfant trop gâté, sur les raisons pour lesquelles des parents gâteraient trop leur enfant et sur les risques d’avoir un enfant trop gâté. Je conclus en vous proposant des solutions concrètes et applicables immédiatement pour trouver le juste milieu entre faire plaisir à son enfant de façon raisonnable et en faire un enfant roi.

Cet épisode vous permettra d’avoir une parentalité plus consciente.

Est-ce que vous savez répondre à cette question ?

De quoi vos enfants ont-ils besoin ?

C’est une question fondamentale ! Si vous ne savez pas de quoi vos enfants ont besoin, comment voulez-vous répondre à leurs besoins ?

La chose qui n’est pas évidente est que ce n’est pas facile de savoir ce dont nous avons besoin (du moins, pour les besoins non physiologiques). Or, les enfants (comme toute le monde d’ailleurs) doivent satisfaire leurs besoins.

Dans cet épisode, je vous invite à faire le point sur les besoins : ce que c’est, comment les connaître et les assouvir. De cette façon, vous pourrez le faire également pour vos enfants. Lorsque vous aurez compris de quoi a besoin votre enfant, vous pourrez le lui donner et les relations avec lui en seront améliorées. Vous éviterez des crises dues à des incompréhensions, vous vous rapprocherez de votre enfant, vous serez un parent plus à l’écoute de votre enfant.

Le sujet de cet épisode est venu de la part de l’une des mes auditrices et coachée. Sa question était : « faut-il donner de l’argent de poche à mes enfants ? ».

Ma première réponse, vous vous en doutez est « vous faites comme vous voulez ! ».

Mais pour vous aider à prendre votre décision que vous voulez éclairée et consciente, écoutez la suite.

C’est une question qui concerne plutôt les enfants plus grands, je dirais les collégiens. C’est vrai que nous sommes peu de parents à donner de l’argent de poche chaque mois à nos enfants de primaire et encore moins de maternelle. Les enfants peuvent avoir un peu d’argent en cadeau à leur anniversaire ou à Noël ou à d’autres occasions d’ailleurs, ils peuvent avoir une petite pièce par-ci, par-là pour mettre dans leur tirelire. Mais institutionnaliser qu’ils vont avoir tant d’euros en début de mois ou en fin de mois d’ailleurs, nous n’y pensons pas vraiment en primaire et nous y pensons moins pour les plus petits que pour les plus grands.

Néanmoins, j’ai connaissance que certains parents donnent de l’argent de poche à leurs enfants assez jeunes.

Pourquoi ?

Comment apprendre à nos enfants la valeur de l’argent ? Comment leur apprendre la gestion d’un budget ? Comment leur apprendre à économiser ? Comment leur apprendre le fonctionnement du système monétaire et financier ? Et comment ne pas en faire des enfants pourris gâtés ?

Non, je ne sors pas les épisodes le lundi habituellement. Mais j'avais quelque chose à vous dire. Quelque chose d'important. 

Je publierai maintenant les épisodes toutes les deux semaines. Je vous explique pourquoi dans cet épisode spécial. 

En bref, publier un épisode me prend, en moyenne, 4 heures. Le podcast n'est pas une activité qui est source de revenus pour moi (je suis totalement ok avec ça !) et j'ai besoin de ce temps pour mieux développer mon activité commerciale, source de revenus... Parce que, j'ai aussi à cœur de vous proposer des épisodes toujours plus intéressants les uns que les autres et je ne veux donc pas bâcler les épisodes de la boîte à outils des parents. 

J'ai aussi à cœur de développer mon activité d'accompagnement des parents pour aider le plus de parents possibles à retrouver du plaisir avec leurs enfants. 

Sacré dilemme n'est-ce pas ? Ce n'est pas une décision facile pour moi... Dès que je pourrai de nouveau consacrer 4 heures chaque semaine au podcast, je le ferai ;) 

A demain pour le premier épisode de cette nouvelle fréquence ! 

Une des grandes questions que je me suis posée (et je suis sûre que vous aussi, vous vous la posez), en tant que maman et coach parental, c’est : comment se développe un enfant ? Qu’est-ce qui se passe dans la tête d’un bébé pour qu’il acquiert progressivement des compétences et capacités cognitives ?

Le langage fait partie d’un des grands mystères pour moi : comment un bébé qui ne parle pas devient un jeune enfant qui parle ? Quels sont les mécanismes à l’œuvre ? Comment favoriser le développement de cette compétence ? Quels sont les réactions ou les absences de réactions qui doivent nous alerter ? Est-ce qu’un enfant fini toujours par parler à un moment ou à un autre ?

J’ai posé toutes mes questions à Estelle qui est orthophoniste et qui, malgré son emploi du temps bien rempli, comme toutes les orthophonistes, a gentiment trouvé le temps de venir à mon micro répondre à toutes mes questions.

Estelle nous explique que le langage s’acquiert grâce aux interactions que l’on a avec notre bébé. Plus on communique avec lui, plus il va vouloir communiquer avec nous et développer toutes les compétences de communication.

Elle nous parle également des signes devant nous alerter, les signes qui indiqueraient des difficultés à entrer dans le langage en nous précisant comment réagir, comment aider notre enfant.

C’est un sujet sur lequel j’ai beaucoup réfléchi en tant que coach parental et je vous livre ici le fruit de ma réflexion.

Dans la continuité de l’épisode précédent, dont le sujet était « faut-il tout dire à ses enfants ? », je souhaitais revenir sur un point important : les secrets.

Dans l’épisode précédent, j’affirmais que oui, il fallait tout dire à ses enfants, ne pas leur cacher d’informations importantes sous peine d’entraver la confiance qu’ils ont en vous, de les laisser dans l’incompréhension, de leur permettre de ressentir et d’exprimer des émotions négatives plutôt que de les refouler et de créer des sujets tabous.

Savoir si l’on peut parler de tout à ses enfants est une question qui revient souvent. Mes coachées me disent « je ne peux pas lui dire ça quand même ! », en parlant de sujets délicats comme les relations amoureuses ou plus simplement les relations entre adultes, la mort, la maladie, la sexualité…

Je vous le dis tout de suite : oui, vous pouvez tout dire à vos enfants. Et même, il vaut mieux dire, même si c’est désagréable, que cacher des informations à ses enfants.

Selon les informations que l’on cache, ça peut être terrible pour l’enfant car l’information cachée peut être déterminante pour son développement et la construction de sa personnalité.

Les informations cachées peuvent être importantes pour la thérapie transgénérationnelle et la psychanalyse.

Les informations cachées peuvent devenir des sujets tabous, sujet dont on ne doit absolument pas parler avec vous. Mais vos enfants chercheront les réponses à leurs questions par leur propres moyens et ils pourront aussi demander à d’autres personnes avec le risque de ce que ces personnes vont transmettre à vos enfants…

Le pire qui puisse arriver est lorsque les enfants découvrent enfin la vérité cachée : ils peuvent être déçus de vous, se sentir trahis et perdre la confiance qu’ils avaient en vous…

Écoutez l’épisode pour savoir pourquoi et comment parler de tout à vos enfants !

Dans la continuité de l’épisode précédent consacré à la protection des enfants et toujours dans cette volonté de mieux vous informer pour mieux prévenir les risques auxquels les enfants sont exposés (les vôtres et les autres), je vous propose aujourd’hui un épisode dans lequel nous allons parler des violences sexuelles faites aux enfants. L’idée est de savoir comment les éduquer à la sexualité de façon générale et en particulier à les protéger des risques afférents.

Pour ce sujet, que je ne maîtrise pas du tout, j’ai invité Anaïs Delaissez-Zaehringer. Anaïs a gentiment accepté de venir à mon micro pour nous expliquer comment faire cette prévention auprès de nos enfants. Et elle a bien fait car c’est clairement une experte du sujet !

Le sujet des violences sexuelles faites aux enfants fait certes, froid dans le dos, c’est indiscutable. Mais il est ô combien important d’éduquer nos enfants à la sexualité pour ainsi prévenir les violences sexuelles dont ils pourraient être victimes .

Ça fait longtemps que je me demande comment mieux protéger les enfants. Mes enfants d’abord mais aussi ceux que je peux croiser dans des situations, des évènements auxquels participent mes enfants. Je sais que je n’ai pas les bons réflexes. J’ai donc voulu demander à une experte en la matière.

Dans cet épisode, je reçois Virginie qui est médecin et dont l’une de ses missions est la protection de l’enfance.

Virginie nous explique comment est organisée la protection de l’enfance en France. Elle nous assure que ce n’est pas parce qu’on appelle le 119 que l’enfant va être retiré à la famille et placé ! Cette mesure-là n’est que le dernier recours, le plus grave, celui qui n’est utilisé qu’en cas de risque extrême pour l’enfant. La plupart du temps, il est proposé une aide éducative à la famille.

L’appel au 119 peut être anonyme si vous le demandez lorsque vous les appelez. Et vous pouvez les appeler dès que vous avez un élément d’identité de l’enfant et que vous êtes alerté.e par la façon dont le traite ses parents. Rassurez-vous, après votre appel, une équipe professionnelle va évaluer les informations que vous avez transmises et décidera d’agir ou non. Ils trieront pour vous. Il vaut donc mieux informer pour rien, dès que quelque chose vous interpelle, que de ne pas informer du tout.

Virginie nous rappelle également que dans tous les cas, l’enfant passe en premier. Il est absolument nécessaire que les enfants grandissent dans de bonnes conditions pour leur assurer un développement harmonieux et qu’ils deviennent des adultes qui reproduisent des traitements qu’ils pensent « normaux ».

Avez-vous envie de protéger les enfants avec moi ?

J’entends souvent autour de moi que la curiosité est un vilain défaut. En tant que coach parental, ça m’interpelle. D’ailleurs, je ne suis pas la seule car certaines auditrices s’interrogeant sur la curiosité de leurs enfants m’on réclamé un épisode sur le sujet.

Alors, pourquoi diable pensons-nous qu’être curieux ou curieuse est mal ?

Les adultes qui se sentent mal à l’aise face à une question posée ont une parade toute trouvée ! Les personnes qui se sentent en conflit avec ces questions vont reprocher à celle ou celui qui la pose sa curiosité.

Mais être curieux ou curieuse est-il vraiment mal ?

Pas du tout !

Au contraire ! La curiosité des enfants leur permet de découvrir le monde, de le comprendre. La curiosité entraîne les enfants à se poser des questions, à réfléchir par eux-mêmes, à trouver des solutions à leurs problèmes. Petits problèmes quand ils sont petits mais grands problèmes quand ils seront adultes !

Non, la curiosité n’est pas un vilain défaut. Mais il faut savoir la doser.

Écoutez l’épisode pour en savoir plus !

Comme l’épisode de la semaine dernière, n’écoutez pas cet épisode en présence de vos enfants !

Je continue à vous parler des mythes et plus particulièrement du père Noël.

Dans l’épisode précédent, je vous ai parlé de la grande question : faut-il faire croire au père Noël à ses enfants ? La réponse se trouve à la fin de cet épisode. *Suspens !*

Que répondre à votre enfant qui vous demande si le père Noël existe vraiment ? Je vous donne quelques idées. Cette question peut arriver plus vite que vous ne le pensez…

Une fois que l’enfant sait que le père Noël n’existe pas, comment peut-il réagir ? Peut-il se sentir trahi ? Peut-il se sentir heureux ?

Et faut-il encourager les enfants qui sont dans la confidence à perpétuer la supercherie ? À mentir à leurs cadets ?

Pour chaque question, je vous propose des alternatives différentes. C’est fait exprès : je vous invite à la réflexion autour de ce sujet afin que vous preniez vos décisions éclairées en tant que parent conscient.

Je vous quitte en vous souhaitant de très bonnes fêtes de fin d’année. Que vous fêtiez Noël ou non et que vous fassiez croire au père Noël ou non !

Je vous retrouve en janvier pour de nouveaux épisodes !

N’écoutez pas cet épisode en présence de vos enfants !!

Nous n’allons parler de rien de grave, rassurez-vous, mais d’un secret bien gardé depuis des générations et des générations.

Oui, dans cet épisode, je vais vous parler du père Noël et des mythes de façon générale. Et le sujet est si large que j’y consacre deux épisodes !

Dans celui de cette semaine, je vous donne des pistes pour savoir si vous voulez faire croire à vos enfants au père Noël, à la petite souris et autres. Est-ce une questions religieuse ? Pas pour tout le monde !

Est-ce un mensonge ? Dans l’absolu, oui. Mais c’est un mensonge gentil et bienveillant. Pas un énorme mensonge fait pour cacher un secret de famille déterminant pour l’enfant.

Dans l’épisode de la semaine prochaine, je vous parlerai de ce que vous pouvez répondre à un enfant qui vous demande si le père Noël existe vraiment, comment il peut réagir et s’il faut encourager nos enfants à entretenir ce mythe (ou mensonge, selon le point de vue).

Pour cet épisode, dans lequel je vais vous proposer une solution pour prendre du recul, je m’appuie de nouveau sur le livre génial dont je n’ai pas cessé de faire l’éloge : le cerveau de votre enfant par les docteurs Siegel et Payne Bryson.

Quand j’ai fait la série sur le cerveau avec les épisodes 51, 52 et 53, je ne vous ai pas parlé de ce qui va suivre parce que je trouvais que la série sur le cerveau était déjà un gros morceau et que le sujet dont je vais vous parler maintenant pouvait être décorrélé du reste.

Je veux vous parler de ce que les docteurs Siegel et Payne Bryson appellent la roue de la conscience.

La roue de la conscience, qui est un terme assez opaque, je trouve, permet de prendre du recul, de se défocaliser d’une pensée qui crée des émotions négatives pour se reconcentrer sur des pensées plus positives. Je vais m’expliquer avec un exemple mais avant ça, je voulais vous préciser que la roue de la conscience est très utile pour les enfants qui ont tendance à se focaliser sur une pensée et à faire des généralités. Mais elle est aussi très utile pour les adultes ! Les adultes sont normalement capables de plus de subtilité, ils sont capables de relativiser plus facilement que les enfants mais tout de même, les adultes trouveront un intérêt dans cet outil.

Découvrez vite cet outil !

Votre enfant fait des bêtises et ça vous agace ? Bienvenue au club ! Tous les enfants font des bêtises. J’ai beaucoup entendu ça, comme une vérité avec un grand V. J’étais d’accord avec ça. Oui, mais quand il en fait… C’est casse-pied ! Et si votre enfant en fait beaucoup, c’est vraiment pesant et épuisant !

Dans cet épisode je commence par définir ce qu’est une bêtise. Ensuite, je vous explique pourquoi votre enfant fait des bêtises. Vous comprendrez que ce n’est pas que pour vous embêter ! Et enfin, je vous propose des solutions pour éviter que votre enfant fasse des bêtises.

En clair, c’est un épisode IN-DIS-PEN-SABLE si votre enfant vous fait tourner chèvre à enchaîner les bêtises !

Comment fait-on lorsque nous sommes femme, maman et salariée ou entrepreneuse pour tout gérer ?

Selon les personnes, ça peut être facile ou difficile. Dans cet épisode, je vous donne des clés pour une organisation au top !

L’estime de soi est fondamentale ! Et j’ai attendu l’épisode 57 pour en parler…

L’estime de soi est le jugement que l’on se porte à soi-même. Il peut être positif ou négatif.

Le jugement que l’on porte sur soi est, généralement, accompagné de pensées à ce sujet. Pensées qui entretiennent généralement le jugement. Si nous avons un jugement positif, nous aurons des pensées positives et vice versa. Si bien que nos pensées accentuent le jugement que l’on se porte.

Vous l’aurez compris, autant avoir une bonne estime de soi alimentée par des pensées et un jugement positifs sur soi.

Mais ce n’est pas forcément le cas.

Cet épisode vous offre une réflexion autour de votre propre estime de vous et des clés pour l’améliorer. J’aborde également des clés pour inculquer une bonne estime de soi à nos enfants.

Dans cet épisode, je vous parle de l’enfant unique et des mythes qui l’accompagnent. Evidemment, pour les déconstruire.

L’enfant unique est soi-disant égoïste. Il manque d’autonomie et ne sait pas gérer la frustration.

Alors oui, certains enfants uniques sont exactement comme ça. Mais est-ce que les enfants qui ont des frères et/ou sœurs ne sont jamais comme ça ?

Je ne crois pas.

Dans cet épisode, j’explique que certains enfants sont égoïstes, manquent d’autonomie et ne savent pas gérer la frustration. Mais ces enfants ne sont pas forcément uniques !

Je rappelle également que vous, parents, vous avez le choix et le droit d’avoir un seul enfant. La société nous met une certaine pression pour avoir plusieurs enfants mais gardez en tête que vous faites ce que vous voulez !

Écoutez l’épisode pour en savoir plus !

Cela faisait longtemps que je cherchais à faire un épisode sur la pédagogie Montessori. Je m’y suis intéressée il y a un moment mais je n’arrivais pas à vraiment cerner l’immense travail de Maria Montessori. Alors, j’ai fait appel à Elise Le Moine, qui est experte de la pédagogie Montessori.

Élise est éducatrice Montessori. Elle s’est formée à l’Institut Supérieur Maria Montessori, centre certifié par l’Association Montessori Internationale (AMI), autrement dit, la meilleure formation Montessori qui existe en France. Elle a travaillé en écoles Montessori et est maintenant derrière le compte MOHM.FR sur Instagram. Elle a à cœur d’accompagner les parents et les professionnels de la petite enfance pour appliquer la pédagogie Montessori au quotidien.

Elle est exactement la personne que je cherchais pour parler de ce sujet et j’ai pu lui poser toutes mes questions !

Écoutez l’épisode, c’est passionnant !

Élise nous expliquera ce qu’est la pédagogie Montessori et si nous pouvons présenter des activités Montessori à nos enfants, à la maison. Elle nous parlera aussi du fonctionnement des écoles Montessori et surtout de la façon dont on peut distinguer le « vrai » Montessori, du faux.

Vous pouvez retrouver Élise sur son compte Instagram et sur son site internet où vous trouverez toutes les formations qu’elle propose. Vous pourrez aussi vous inscrire à sa newsletter pour être informé de ses dernières nouveautés et des activités que vous pouvez mettre facilement en place à la maison.

Être affirmé est nécessaire dans la vie de tous les jours. Ça permet de faire ses propres choix, de ne pas se laisser marcher dessus, de faire ce dont on a envie, d’être aux commandes de sa vie. Et c’est une compétence qui s’apprend. Dans cet épisode, je veux vous donner les clés pour enseigner à vos enfants l’affirmation de soi.

Pour expliquer ce qu’est l’affirmation de soi, je vous propose de passer par un grand classique en coaching : le triangle dramatique, appelé aussi triangle de Karpman, du nom du psychologue américain qui l’a théorisé. C’est un jeu de rôle. Jeu auquel nous participons tou.te.s sans l’avoir en tête et justement, je vous propose de le conscientiser.

Je vous donne ensuite les clés pour apprendre à vos enfants à s’affirmer sans rentrer dans ce jeu de manipulation qu’est le triangle de Karpman.

Voici le deuxième épisode de ma série consacrée au cerveau des enfants. Dans l’épisode précédent, je vous expliquais des généralités sur le cerveau et à quel point votre action peut avoir des effets sur le développement du cerveau.

Dans cet épisode, je vais vous parler de l’intégration des cerveaux droit et gauche. Tout cela sera, évidemment, en lien avec l’éducation des enfants ! Je ne fais pas un exposé scientifique juste comme ça !

Pour cet épisode et le prochain, je m’appuie sur le livre passionnant « le cerveau de votre enfant » aux éditions Marabout écrit par les docteurs Siegel et Bryson. Ce bouquin est une mine d’informations pour comprendre ce qui se passe dans la tête des enfants.

Vous le savez peut-être déjà car c’est assez connu, le cerveau (de tous, enfants comme adultes) est divisé en deux hémisphères : un à gauche et un à droite. Et ces deux parties, qui sont anatomiquement séparées, fonctionnent différemment.

Je vous expliquerai quelles sont les caractéristiques de chaque hémisphère.

La plupart du temps, et sans apprentissage spécifique, c’est le cerveau droit des enfants qui domine. C’est quelque chose d’inné chez eux, dès leur naissance. L’utilisation du cerveau gauche demande, quant à lui, un peu plus de temps et de développement.

Or, pour être équilibré, il est primordial que ces deux hémisphères fonctionnent ensemble, de concert. Le droit ne doit pas prendre le pas sur le gauche et réciproquement.

Écoutez cet épisode pour savoir comment faire !

Que se passe-t-il dans la tête de nos enfants ?

Pourquoi ont-ils parfois des réactions disproportionnées que nous ne comprenons pas ?

Pourquoi restent-ils parfois sur un évènement de la journée sans passer à autre chose ?

Je me suis longtemps posé ces questions et j’ai un début de réponse : tout se joue dans la tête de nos enfants. Lorsque l’enfant naît, son cerveau n’est pas formé complètement. Il continue de se développer jusqu’à 25 ans environ.

Alors avec un cerveau non fini, comment nos enfants peuvent-ils avoir des réactions matures et raisonnables ? Ils ne le peuvent pas, évidemment !

Cet épisode est le premier épisode d’une série de trois épisodes consacrés au cerveau de nos enfants. Je commence cette série par poser les bases, les généralités sur le cerveau.

L’idée est de savoir comment le cerveau de notre enfant se développe pour s’y adapter et ajuster l’éducation que nous lui donnons en fonction de son développement neuronal.

Ne ratez pas les deux prochains épisodes !

C’est un sujet qui revient souvent : beaucoup de parents décrivent leur enfant comme hypersensible et/ou se décrivent eux-mêmes comme hypersensible.

Je ne suis pas très à l’aise avec cette reconnaissance d’hypersensibilité et je vous explique pourquoi. Je vous dirai également quel est l’immense côté positif à se reconnaître ou à reconnaître son enfant comme hypersensible.

Aujourd’hui, je voulais vous parler d’un sujet qui touche beaucoup d’entre vous. Vous êtes nombreux.ses à faire partie d’une famille recomposée. Vous êtes nombreux.ses à être un beau-père ou une belle-mère et ce n’est pas sans difficultés !

Je dois dire que quand j’ai commencé mes recherches sur internet à ce sujet, j’ai trouvé des choses plutôt effrayantes ! Comme si une famille recomposée était vouée à l’échec en provoquant des troubles mentaux à tous ses membres. Ça m’a beaucoup étonnée car pour moi, des familles recomposées, il y en a et le tableau n’est pas aussi noir que ce qui était décrit sur ces sites internet…

Donc voyons un peu comment vous rassurer sur le sujet des familles recomposées !

D’après moi, toutes les formes familiales sont possibles et peuvent être harmonieuses ! Si on prend un contre-exemple, toutes les familles composées du père et de la mère biologiques ne fonctionnent pas parfaitement bien. La caractéristique d’une famille épanouie, équilibrée, où chaque membre a sa place n’est donc pas sa composition. C’est peut-être un challenge supplémentaire, et encore…

Tout d’abord, qu’est-ce qu’une famille recomposée ?

Il s’agit d’une famille formée d’un couple et d’au moins un enfant issu d’une union précédente. Dans certaines situations, les deux membres du couple ont des enfants d’une union précédente, dans d’autres, c’est seulement l’un des deux. Et ce couple a généralement un ou des enfants en commun.

La conséquence de cette forme familiale est que certains enfants vivent au quotidien avec un adulte qui n’est pas son parent.

On dit que c’est une forme familiale récente car elle s’est popularisée en même temps que le divorce. Avant que le divorce soit un droit, les familles recomposées ne l’étaient que suite au veuvage d’un des deux parents. C’était donc beaucoup plus rare !

Mais aujourd’hui, c’est une composition familiale assez fréquente.

Je vous parlerai surtout des difficultés rencontrées dans une famille recomposée et de comment les surmonter.

Vous avez peut-être loupé l’info : je viens de créer un groupe facebook pour nous retrouver en dehors du podcast afin d'échanger sur votre parentalité et de bénéficier de mes conseils de coach et des conseils des autres parents membres du groupe !

Qu’est-ce que nous voyons quand nous regardons notre enfant ?

Est-ce que nous le/la voyons lui/elle, tel.le qu’il/elle est ? Ou est-ce que nous le/la voyons tel.le que nous voudrions qu’il/elle soit ?

Je me suis interrogée à ce sujet car certaines personnes autour de nous nous disent sans cesse : qu’est-ce qu’il ressemble à son père ! Elle a tes expressions !… ce genre de phrases. Je ne sais pas pourquoi ils disent ça. J’ai parfois l’impression que les autres veulent absolument trouver des points communs entre les parents et les enfants. Pour rassurer les parents peut-être, pour se rassurer eux, je ne sais pas…

Toujours est-il que même nous, les parents, nous voyons en notre enfant d’autres personnes que lui (par exemple l’autre parent, son frère ou sa soeur…) ou nous projetons sur lui nos aspirations, nos rêves, nos échecs. Si bien que nous risquons de ne plus voir notre enfant tel qu’il est, dans sa particularité, dans son unicité.

Dans cet épisode, je vous propose de vous interroger sur ce que représente, pour vous, votre enfant. De cette façon, vous déjouerez les projections et les désirs de réparation pour permettre à votre enfant d’être exactement la personne qu’il veut être et de faire exactement les choses qu’il veut faire.

Je vous retrouve après ces mois d’été, pendant lesquels, j’espère, vous avez passé de bons moments. Et après l’été, vient la rentrée !

La rentrée des classes est un évènement que l’on aime ou pas. Soit il y a de l’excitation, soit il y a du stress. Il peut aussi y avoir de l’émotion ! La rentrée, c’est une étape, je trouve. On voit notre enfant grandir d’un coup. Surtout s’il rentre en petite section de maternelle, donc à l’école pour la première fois ou en CP, en 6ème… Dans ces cas-là, l’enfant va être livré à lui-même pendant un certain laps de temps dans un environnement avec lequel il n’est pas familier, la plupart du temps.

Dans cet épisode, je vais vous parler de rentrée scolaire en maternelle ou primaire. Je vous donne les clés pour faire de cette rentrée un bon moment !