Allées simples

"Martine Cutunio au volant, passion au tournant", Dominique Frot en conteuse nous raconte la folle passion de Martine pour les voitures.

Impénétrable, soumise, ­complice, Hélène s'est enfermée dans une relation toxique dont elle tire les fils. Avec Lisa Portelli autrice, compositrice et chanteuse.

Entre deux métros, Sylvie nous explique le début de sa nouvelle vie, avec Mélanie Franckenberg, illustratrice.

Derrière le rideau, Fanny nous confie son rôle de muse. Emmanuel Barrouyer, comédien, artiste visuel et énergéticien, incarne la source d'inspiration.

Alexie nous parle d'une nuit comme une autre, avec Claire Nebout, artiste, comédienne, réalisatrice.

Le temps d'une courte pause, Bénédicte nous ouvre son album photo, avec Ariane Massenet, journaliste et comédienne.

Fin de la nuit, c'est déjà l'aurore, trinquons en compagnie de Brigitte dans un bar de Saint-Germain-des-Près, avec la show-girl Lolly Wish.

Les étés caniculaires laissent toujours des traces, Miltie se souvient du sien, avec Bunny Godillot, comédienne, autrice et réalisatrice.

"Vole, vole, loin de moi", Gabrielle se détache tel un grain de sable au vent, avec la chanteuse et comédienne ninA Morato

Fin de partie, Joséphine nous liste ses conquêtes, avec la comédienne Emmanuelle Escourrou.

Confidence pour confidence, Alice chevauche de nouvelles contrées, et c'est l'artiste Sophie Ong qui tient les rênes.

Au volant de sa voiture, Viviane roule vers une destination inconnue, avec la chanteuse RoBERT.

Entre deux épisodes des "Feux de l'amour", Françoise veut s'amuser tout en prenant ses précautions, avec Galia Salimo, écrivaine et reine de la nuit en stand-by.

Michelle, enfin Mickie, n'est pas du genre à tourner autour du pot, alors "vos gueules" ! C'est le moment de l'écouter, avec Agnès Tassel, model.

Liliane se fait belle avant de sortir, devant le miroir, elle nous dit tout... comme avant... avec Dina Haidar, cofondatrice de Liwan. 

Elle en est croque de son Marcel, la douce Antoinette. La comédienne et danseuse Magali Le Naour-Saby redonne de la lumière aux années.

Retrouvez-nous sur les bonnes plateformes en ligne (Spotify, Apple Music, Deezer, …), abonnez-vous pour ne rien manquer, notez et partagez sur les réseaux sociaux pour faire connaître les "allées simples". Le livre (avec des illustrations) est maintenant disponible aux Éditions Complicités. Enfin, retrouvez-nous sur Instagram, une page spéciale a été crée @allees_simples_podcast

Ivana est dans les bois... C'est Diane Pernet, journaliste et critique de mode, qui lui prête sa voix. 

Scénariste, comédienne, metteur en scène, Barbara Grau sous les traits d'Anémone se souvient de Martin. 

Xavière veut parler de tout sauf de lui et pourtant... Milka Dostanic, comédienne voix off, a la clé de son portail. Moment suspendu.

Abracadabra ! Artiste, D.A/styliste, modèle et conférencière engagée, Thérèse est l'ingénieuse Jacqueline qui a plus d'un tour dans son sac. 

La maison ne fait pas crédit. L'auteure et model Sylviane Degunst endosse la peau de Gilberte, la bouchère charcutière au service client très aiguisé. 

La douce Hortense nous parle d'amour, oui d'amour. Hortense est interprétée par Olga Schmidtt, agent d’artiste et auteure de « Suprême Soviète » (ed. Le Pas d’Oiseau)

Mais qui est donc cette fameuse Madame Renée au bout du fil ? L'artiste Clarisse Tranchard l'incarne le temps d'un dernier appel... 

L'écrivaine Géraldine Barbe pose son stylo pour interpréter le personnage d'Edwige le temps de trois minutes et douze secondes.

La vie, c'est du cinéma, nous dirait Bernadette. Derrière les projecteurs, c'est Béatrice Sebbah de Staël, réalisatrice, actrice, scénariste, qui endosse le rôle. 

La clé est à la réception. Au bar de l'hôtel, la photographe de mode et de célébrités Frédérique Veysset incarne Odile, cliente de la chambre 444.  

Le long d’allées ombragées, à l’abri de l’agitation de la ville, des femmes d’un autre temps confient leur histoire, sans fard et sans détour. Elles abordent des sujets personnels comme l'amour, la mort, la sexualité, à contre-courant. Certaines se sont affranchies d'un fardeau, qu'il soit lié à une situation, un homme, une névrose, d’autres expriment un accident de parcours, un voyage intérieur.